1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 nsidéré par plusieurs comme l’un des héritiers de Barrès . Le rapprochement est peut-être prématuré, tout au plus peut-on dire
2 l’heure présente déjà, son œuvre, comme celle de Barrès , nous offre plus qu’un agrément purement littéraire : une leçon d’éne
2 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
3 mènes littéraires partout ailleurs divergents : «  Barrès dans son éthique, Maurras dans son esthétique, les Surréalistes dans
4 leur et sa force. » Ainsi Beausire nous montre un Barrès tout crispé sur quelques certitudes et quelques doutes immédiatement
5 ention. Méditez un peu cette note de Beausire : «  Barrès se plaint très souvent de ses migraines, de ses gastrites, de sa fati
6 osait de longues marches. Mais ne demandons pas à Barrès de quitter sa chambre, son cigare ou son moi. » 8. « La France… n’a