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au soleil se déploient les équipes, et l’équipier
Montherlant
les contemple, ému de « cette ivresse qui naît de l’ordre », et aussi
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sentiment du devoir de chacun envers l’ensemble (
Montherlant
insiste plutôt sur le sentiment des hiérarchies que sur celui de la s
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e récit des premiers combats de taureaux du jeune
Montherlant
est en réalité un nouveau tome de ses mémoires lyriques. Une œuvre d’
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ieuses explications nécessaires, défauts auxquels
Montherlant
n’a pas toujours échappé, mais qu’il domine dans l’ensemble et entraî
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xcès de lyrisme à propos des premiers ouvrages de
Montherlant
. Cette fois-ci, on le traite de naturaliste. Mais comment montrer des
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l’étable ? L’étonnant, c’est de voir à quel point
Montherlant
reste poète jusque dans la description la plus réaliste de la vie ani
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uppose entre l’homme et la bête une sympathie que
Montherlant
note à plusieurs reprises. C’est « par la divination de cet amour qu’
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vrais délires taurologiques. Quand le lyrisme de
Montherlant
décolle de la réalité, c’est tout de suite une orgie d’évocations ant
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st peut-être qu’un rêve de poète. Il y a un autre
Montherlant
, plutôt stoïcien, celui-là. Et c’est un moraliste de grande race, qui
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utres qui s’analysent sans fin, avant que d’être,
Montherlant
impose un tempérament lyrique d’une puissance contagieuse. Il y a là
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iétudes profondes de leurs âmes séparées de Dieu.
Montherlant
est aux antipodes de ceux-là « qui cherchent en gémissant ». Mais cet
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ennent : Bernanos et Malraux ; un qui s’éloigne :
Montherlant
. Très suspects dans les « milieux » littéraires, l’un parce qu’il cro