1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 oint qu’elle n’est plus une entrave à la violence animale déchaînée dans le corps du joueur à la vue de la prairie rase où rebo
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 ateurs par quoi l’homme ne se distingue plus de l’ animal . Louée soit ma force et tout ce qui l’exalte, et tout ce qui la dompt
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 ue dans la description la plus réaliste de la vie animale . Et n’est-ce pas justement parce qu’il est poète qu’il peut atteindre
4 re énergie physique. Partout rôdent des présences animales . Tandis que sur la plaine s’élève le long beuglement des taureaux et
5 e désir ». Une intelligence si profonde de la vie animale suppose entre l’homme et la bête une sympathie que Montherlant note à
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 s l’eau des nuits, et quelquefois j’en ramène des animaux aux yeux bizarres où je sais lire les signes. » Comme je ne répondais
7 erres précieuses en passant par toutes les formes animales . Pour lui, les choses n’ont d’intérêt que par les rapports qu’il leur
8 ’expliqua qu’il en était ainsi chaque nuit, que l’ animal devenait nerveux et que depuis quelques semaines, il avait dû le mett