1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 tteté et un relief remarquable. Les œuvres de cet artiste , qu’on a pu voir à la Rose d’Or témoignaient de ces mêmes qualités :
2 er l’importance de telles prises de contact entre artiste et public ? b. Rougemont Denis de, « Conférence Meili », Feuille d
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)k Neuchâtel va-t-elle redevenir le centre
4 istique. Domaine à vrai dire assez singulier. Nos artistes , en effet, n’ignorent rien des courants les plus modernes, et sont bi
5 t qui forme ailleurs le premier public des jeunes artistes , n’existant pas ici, le peintre se trouve placé d’emblée en face de c
6 toire : au seuil d’un article consacré aux jeunes artistes neuchâtelois, je vous présente Conrad Meili, un Zurichois qui nous ar
7 tel 1927 7 il aura bien mérité sa place parmi les artistes neuchâtelois. Actuellement, Meili achève la décoration d’une salle d’
8 e décorative ! Voilà qui laisse espérer parmi nos artistes bien d’autres rapprochements moins paradoxaux. Donzé n’est pas de ceu
9 herche en vain chez beaucoup des meilleurs de nos artistes . Mais n’allez pas croire à des grâces faciles ou sentimentales. Il y
10 orer l’au-delà. En vérité il faut être sorcier ou artiste pour changer en instruments métaphysiques ces bonnes montres de préci
11 alutaire leçon de style donnée par le cubisme aux artistes qui ont su se dégager de son outrance théorique. C’est dans la manièr
12 e. Mais elle a du moins l’avantage de grouper des artistes qui, par le fait des circonstances peut-être plus que par de naturell
13 retenait récemment ses lecteurs. 8. Voir sur cet artiste neuchâtelois, de son vrai nom Ch. E. Jeanneret, un article paru dans
14 de cette revue. k. Rougemont Denis de, « Jeunes artistes neuchâtelois », Das Werk, Zurich, avril 1927, p. 123-129.