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tteté et un relief remarquable. Les œuvres de cet
artiste
, qu’on a pu voir à la Rose d’Or témoignaient de ces mêmes qualités :
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er l’importance de telles prises de contact entre
artiste
et public ? b. Rougemont Denis de, « Conférence Meili », Feuille d
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Jeunes
artistes
neuchâtelois (avril 1927)k Neuchâtel va-t-elle redevenir le centre
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istique. Domaine à vrai dire assez singulier. Nos
artistes
, en effet, n’ignorent rien des courants les plus modernes, et sont bi
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t qui forme ailleurs le premier public des jeunes
artistes
, n’existant pas ici, le peintre se trouve placé d’emblée en face de c
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toire : au seuil d’un article consacré aux jeunes
artistes
neuchâtelois, je vous présente Conrad Meili, un Zurichois qui nous ar
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tel 1927 7 il aura bien mérité sa place parmi les
artistes
neuchâtelois. Actuellement, Meili achève la décoration d’une salle d’
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e décorative ! Voilà qui laisse espérer parmi nos
artistes
bien d’autres rapprochements moins paradoxaux. Donzé n’est pas de ceu
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herche en vain chez beaucoup des meilleurs de nos
artistes
. Mais n’allez pas croire à des grâces faciles ou sentimentales. Il y
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orer l’au-delà. En vérité il faut être sorcier ou
artiste
pour changer en instruments métaphysiques ces bonnes montres de préci
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alutaire leçon de style donnée par le cubisme aux
artistes
qui ont su se dégager de son outrance théorique. C’est dans la manièr
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e. Mais elle a du moins l’avantage de grouper des
artistes
qui, par le fait des circonstances peut-être plus que par de naturell
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retenait récemment ses lecteurs. 8. Voir sur cet
artiste
neuchâtelois, de son vrai nom Ch. E. Jeanneret, un article paru dans
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de cette revue. k. Rougemont Denis de, « Jeunes
artistes
neuchâtelois », Das Werk, Zurich, avril 1927, p. 123-129.