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griffent et lèchent alternativement, « en vraies
bêtes
de désir ». Une intelligence si profonde de la vie animale suppose en
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nde de la vie animale suppose entre l’homme et la
bête
une sympathie que Montherlant note à plusieurs reprises. C’est « par
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ban (le jeune héros du récit) sent ce que sent la
bête
en même temps qu’elle. Et parce qu’il sait ce qu’elle va faire, il pe
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véritable horreur sacrée. Voici Alban devant une
bête
qu’il devra combattre le lendemain : « Salaud, cochon, saligaud ! »
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la mort du taureau dit « le Mauvais Ange » : La
bête
chancela de l’arrière-train, tenta de se raidir, enfin croula sur le