1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 griffent et lèchent alternativement, « en vraies bêtes de désir ». Une intelligence si profonde de la vie animale suppose en
2 nde de la vie animale suppose entre l’homme et la bête une sympathie que Montherlant note à plusieurs reprises. C’est « par
3 ban (le jeune héros du récit) sent ce que sent la bête en même temps qu’elle. Et parce qu’il sait ce qu’elle va faire, il pe
4 véritable horreur sacrée. Voici Alban devant une bête qu’il devra combattre le lendemain : « Salaud, cochon, saligaud ! »
5 la mort du taureau dit « le Mauvais Ange » : La bête chancela de l’arrière-train, tenta de se raidir, enfin croula sur le
2 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
6 e comédie aux attitudes convenues et donner l’air bête aux acteurs. Puis Gérard embrassa paternellement la belle effarée, et
3 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
7 générations de « bourgeois cultivés » à faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme. Dans la bouche de certains, cela prend l’a
8 s malins ! qui ont préféré faire tout de suite la bête  : comme cela on est mieux pour donner le coup de pied de l’âne… Écout