1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 cochon, saligaud ! » Il l’apostrophait ainsi tout bas , sur un ton révérenciel, et comme on déroule une litanie. Sous les gr
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 ons maintenant le sentier du bord du fleuve, plus bas que la Promenade désertée. Sur les eaux, comme immobiles, des nuages
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
3 ndent indéfiniment — c’est un ciel suspendu assez bas sur nos têtes. Lumière orangée, tamisée ; un piano dissimulé joue trè
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
4 s maisons. Il voyait des prairies et des collines basses , de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « 
5 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
5 , des incantations tout juste bonnes à évoquer la basse pègre du monde spirituel. Ce n’est pas en détraquant nos sens ou notr