1
s. Et voici la place régulière, les galeries, les
cafés
, les musiques, Donizetti qui pleure délicieusement jusque dans les ge
2
nal oubliés sur le marbre vulgaire d’une table de
café
. Je venais de m’asseoir et de commander une consommation. Comme d’hab
3
bitude, un peu après six heures. J’étais seul. Le
café
est un lieu anonyme bien plus propice au rêve que ma chambre où m’att
4
ies et de peurs. Il fallut se lever, traverser le
café
dans la musique et la rumeur des clients. Dehors les réclames lumineu
5
a rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de
café
au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre