1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 ré tout entier, il a bravement affirmé son unité. Car le temps n’est plus, où les jeunes gens se faisaient, avec sérieux, d
2 rre, dira-t-on. M. de Montherlant répondra : non, car la faiblesse est le péché capital pour le sportif. Or c’est la faible
3 ison. Ce qu’on en peut retenir, c’est la méthode, car je crois qu’elle sert mieux la démocratie que l’Église romaine, quoi
2 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
4 la Rose d’Or témoignaient de ces mêmes qualités : car la façon de peindre correspond à la façon de penser du peintre. Souha
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
5 estation, étouffées par des forces qui se lèvent. Car telle est la vertu de ce livre, qu’on l’éprouve d’abord trop vivement
4 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
6 e la confession d’Augsbourg) et surtout morales : car malgré des félicitations arrachées par Louis XIV au pape, les catholi
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 ion bien méritée du talent d’un de ses enfants… » Car le fils prodigue, s’il rentre au foyer dans une Rolls-Royce et fortun
8 esser la reliure qu’il doit avoir faite lui-même. Car il est artisan, dans le beau sens ancien du terme, tout comme son frè
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 ma déception, sinon moi-même, me dis-je bientôt. Car je professe qu’un désir vraiment pur parvient toujours à créer son ob
10 ez que les miennes étaient de meilleure qualité : car c’est une pauvre illusion que le plaisir qu’on vient chercher ici ave
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
11 ut-être te reconnaîtrais-tu sous un autre visage. Car oublier son visage, ne serait-ce pas devenir un centre de pur esprit 
8 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
12 otre temps doit vouer l’attention la plus grave — car il vécut dans ces marches de l’esprit humain qui confinent peut-être
13 d12, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce poète n’est peut-être que le lieu de sa poésie, — d’une poésie, l’
14 parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son
9 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
15 ur de l’homme — à condition qu’il les surmonte. «  Car l’homme est quelque chose qui doit être surmonté » comme dit Zarathou
10 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
16 uelle correspond à une certaine sécheresse d’âme. Car on ne voit que ce qu’on mérite. — Les plus beaux fantômes, et les plu
17 r notre conscience. C’est un effort de création — car toute découverte du monde spirituel revêt pour nous, normalement, l’a