1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 ns une unité supérieure » l’antinomie de l’esprit catholique et de l’esprit sportif. « On se fait son unité comme on peut », avoue
2 ir tout lire, et il n’y aura plus besoin de roman catholique . » C’est ce qu’on pourrait appeler une « morale constructive » : port
3 ualité vaguement chrétienne de tel autre écrivain catholique . Et son lyrisme, encore un peu brutal, il saura le dompter, et attein
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
4 rement frappante la comparaison des points de vue catholique et protestant : la notion de « Saint » et son évolution au cours des
5 ligieux est replacé en Christ. — Comment l’Église catholique réagit-elle ? En codifiant l’état de choses antérieur. Donc l’Église
6 pour nous protestants. Est-ce là nous juger ? Les catholiques nous reprochent d’avoir méconnu l’élément de grandeur morale que les
3 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
7 ceux qui resteront « Les enfants seront du moins catholiques , si les pères sont hypocrites », écrit Madame de Maintenon. Mais bien
8 élicitations arrachées par Louis XIV au pape, les catholiques sont loin d’être unanimes à louer la révocation. L’un d’eux s’indigne
4 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
9 n, thème rhétorique, y compris la Religion, thème catholique . Servir leur paraît ridicule. Soit, mais il faudrait donner une œuvre