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mmes maîtres d’eux-mêmes, c’est-à-dire libres. Et
cela
me semble d’autant plus paradoxal que M. de Montherlant est justement
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compréhension et de sympathie que le sien propre.
Cela
donne à ses conclusions cette sécurité dont trop souvent un brillant
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q conférences et autant de cultes en trois jours,
cela
peut paraître excessif à qui n’a pas connu l’atmosphère particulière
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r le doute, le modèle des réponses désirées. Tout
cela
, c’est l’atmosphère de la chapelle où ont lieu travaux et méditations
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ue par ce que je puis devenir. Se perfectionner :
cela
consiste à retrouver l’instinct le plus profond de l’homme, la vertu
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tincts et je n’entends pas tous les cultiver pour
cela
seul qu’ils sont naturels : la nature est un champ de luttes, de tend
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, en même temps que ma puissance d’agir. Que tout
cela
s’agite sur fond de néant, je le comprends par éclairs, mais une secr
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liste. Mais comment montrer des taureaux sans que
cela
sente un peu l’étable ? L’étonnant, c’est de voir à quel point Monthe
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ont un pouvoir tyrannique sur mon esprit. Non que
cela
m’intéresse au fond : les faits-divers, rien de moins divers. Mais je
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es de mes folies ? Je me répète : paradoxes, mais
cela
ne suffit plus à m’en délivrer. Ma vie m’a repris, je ne suis pas heu
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un Zurichois qui nous arriva de Genève il y a de
cela
cinq ou six ans. Il peignait alors des natures mortes, de petits pays
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plaisir, mais plutôt par amour du courant d’air.
Cela
dérange toujours quelques frileux, mais les autres sont soulagés. Et
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dessin, qui ont du poids et nulle lourdeur, tout
cela
communique une impression de puissance domptée et qui semble se faire
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rêve de valse qu’on était venu chercher parce que
cela
vaudrait bien d’autres stupéfiants. Mais un tour de tourniquet anéant
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les accords d’une harmonie surnaturelle. Et tout
cela
chanté dans une langue que je comprends mal. Je me penche vers un voi
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rd tenait en laisse le fameux homard enrubanné. «
Cela
vexe les Viennois, me dit-il, parce qu’ils y voient une façon de me m
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er la sensation jusque dans les choses — et c’est
cela
seul qui donna un sens au monde. — Mais je bavarde, je philosophe, et
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esse de sa danse. Je la nomme Clarissa, parce que
cela
lui va. Mais comme c’est odieux qu’une créature aussi parfaite soit t
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ces sur les chapeaux noirs de ses cavaliers. Tout
cela
s’empila dans des autos ; en dix minutes, il n’y eut plus personne, l
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jeunes gens de sa génération. Seulement chez lui,
cela
ne s’est pas porté sur les autos. Il préfère s’intéresser aux divers
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a pourtant cette petite chambre… Est-ce que tout
cela
existe dans le même monde ? (Il est bon de poser parfois de ces grand
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ccorde à trouver malsain ce genre de tentatives :
cela
ne peut que mal finir. Ceux du bon sens hochent la tête et citent la
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u’il s’agit de l’âme. Dans la bouche de certains,
cela
prend l’air de je ne sais quelle revanche du médiocre dont ils se sen
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i ont préféré faire tout de suite la bête : comme
cela
on est mieux pour donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Be
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sentir de grandes choses généreuses autour d’eux…
Cela
s’oublie. Et l’amour, tout justement, nous fait comprendre, dans le t
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n’existe qui vaille qu’on s’y dévoue. Mais quoi !
cela
peut vous mener à crever de faim, ce qui ne se porte plus, — voire mê
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artent vers la foi et s’arrêtent chez un éditeur.
Cela
fait un roman de plus. Il obtiendra le prix d’assiduité et l’approbat
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leur opposer un effort digne de ce qu’ils furent…
Cela
demanderait certains sacrifices, certains mépris qui passent tellemen