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un lieu anonyme bien plus propice au rêve que ma
chambre
où m’attendent tous les soirs quand je rentre du bureau, les gages in
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isse, parce que le lait va monter. Alors, dans ma
chambre
, avant d’aller souper, je m’abats sur mon lit, les cheveux dans les m
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s, aux cactus qui ornaient les fenêtres, dans une
chambre
peinte en bleu vif et ornée de surprenants batiks, il s’est livré pen
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aient à demi encombrés d’armoires. Un couloir, la
chambre
. L’homme qui me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur connaî
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e fenêtre, à marmotter. Vingt-sept ans dans cette
chambre
, avec le bruit de l’eau et cette complainte de malade épuisé après un
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Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la
chambre
. Il ne vient pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4… Une rue ét
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nt : la vie normale. Il y a pourtant cette petite
chambre
… Est-ce que tout cela existe dans le même monde ? (Il est bon de pose
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e ciel, les dieux le vouent au malheur. » Ô cette
chambre
, où pénètre la facilité atroce de cette fin d’après-midi, ces musique
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hes. Mais ne demandons pas à Barrès de quitter sa
chambre
, son cigare ou son moi. » 8. « La France… n’a pas su faire la révolu