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re l’un et l’autre. Ainsi mon art, entre terre et
ciel
. Mais sa foulée, bondissante et posée, est pleine du désir de l’air.
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dans ce corridor de lumière où elle accueille le
ciel
— et derrière, elle devient plus secrète. Vers l’est, des collines fl
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e. Nul désir en nous de comprendre ce lamento. Le
ciel
est un silence qui s’impose à nos pensées. Ici la vie n’a presque plu
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le. Fleurs de lumières sur les champs sombres du
ciel
de l’est, et une façade parfaite répond encore au couchant. San Minia
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sérénité de cette façade élevée lumineuse sur le
ciel
fut le signe d’un équilibre retrouvé. Un grand pont de fer, près de n
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seul parmi la foule, lève les yeux, au plus beau
ciel
du monde. i. Rougemont Denis de, « Soir de Florence », La Semaine
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eurs intérêts immédiats à leur désir de gagner le
ciel
, persuadent Louis XIV que la révocation serait une œuvre digne du Roi
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l peigne entre deux pluies. Il aime ces heures où
ciel
et onde se mêlent, et sait rendre mieux que personne la liquidité d’u
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aissons dorés, l’étendent indéfiniment — c’est un
ciel
suspendu assez bas sur nos têtes. Lumière orangée, tamisée ; un piano
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temps où le sens de son monologue entre terre et
ciel
lui échappe. Il jette encore quelques cris brisés : « Ô vieux démon !
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« Celui qui entre en commerce trop étroit avec le
ciel
, les dieux le vouent au malheur. » Ô cette chambre, où pénètre la fac
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ndre, dans le temps même qu’il nous entr’ouvre le
ciel
, qu’il est bon qu’il y ait le monde… Mais que cette musique vulgaire,