1
e glisser dans l’atmosphère de l’œuvre ; que l’on
consente
en effet à telle déformation, et tout devient satisfaisant. Ce lyriqu
2
lui font du mal, l’énervent, mais l’aveu qu’il en
consent
l’attache plus secrètement à son aventure. Nous vivons dans un décor
3
ie comme de cette nuit le jour d’un grand été qui
consent
… p. Rougemont Denis de, « Le prisonnier de la nuit », Cahiers de