1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 et nuancée jusqu’à l’ennui. La guerre a donné le coup de grâce à cet esthétisme énervant qu’on appelle symbolisme ; et elle
2 isi aux pattes de la guerre encore contus de huit coups de griffes et chaud de l’étreinte du fauve merveilleux ». Il n’a pas
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
3 lutte et des forces humaines, et rendait sous des coups un son qui nous évoqua les rumeurs de villes d’usines. Il y avait la
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
4 je savais très clairement que je gagnerais à tout coup . L’étranger se mit à discourir. Et dans mon ivresse, ses paroles peig
5 seul, avec tes airs pessimistes. De nouveau, d’un coup de dés, je bouscule tous tes calculs, ha ! tu te disais : le voilà ri
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
6 roit-on), est frappé d’insolation ; sa folie d’un coup l’envahit. C’est une sorte de vieillard qui reparaît en Allemagne. Et
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
7 uons pas d’être tués par des statues !) Tout d’un coup , trois hommes qui ont du cran. Deux qui viennent : Bernanos et Malrau