1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 de passe-passe de logique, admirablement masqués d’ailleurs par des façons cavalières un peu intimidantes. Toute une partie du Pa
2 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
2 ncesse palatine, se laisse facilement convaincre. D’ailleurs , les jésuites ont déjà réussi à « tourner » l’édit par mille arguties
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 constances confèrent une actualité toujours vive. D’ailleurs , sachons le reconnaître, il y a moins de malice que de paresse dans l
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
4 as le sentiment de quoi que ce soit d’immatériel. D’ailleurs le trouble où m’avait jeté la première reconnaissance empêcha ma rais
5 e classique de Vienne. Sentimentalisme capricieux d’ailleurs , dépourvu d’ironie, mais non pas de légèreté. C’est une sorte d’incon
6 i est toute caresses, a peur de l’étreinte… C’est d’ailleurs une chose que je comprends assez bien, ajouta-t-il, mais pour d’autre
7 en : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très, très longtemps… Et pas de Lune ce
8 l parlait à voix basse à son homard, qui semblait d’ailleurs endormi. En passant par la Freyung, nous vîmes un palais aux fenêtres
5 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
9 nde-t-il aux êtres plus qu’ils ne peuvent donner… D’ailleurs on ne lui doit rien, n’est-ce pas ? Il en tombe d’accord ; accepte d’
10 as se fatiguer pour rien.) Cette histoire idiote, d’ailleurs vraie, se borne à décrire l’aspect psychologique d’une aventure qui e
6 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
11 es parfums de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs … Faut-il donc que l’un des deux soit absurde, de ces mondes à mes yeu
7 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
12 e ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème, d’ailleurs insoluble : « Peut-on discerner avec certitude, après lecture de ses
13 udaces souveraines d’un Racine, d’un Descartes ?) D’ailleurs , c’est bien simple, si vous persistez à dédaigner cette vertu qu’il e