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ues, regards, musiques — cette vie rapide dans un
décor
qui est le rêve éternisé des plus voluptueuses intelligences — tous l
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datent des toiles comme le Souvenir de l’Évêché.
Décors
et personnages semblent d’une matière idéale. Tout est lisse et parfa
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s du matin, moyennant tant de schillings, dans un
décor
banal et imposé, avec des femmes qui élargissent des sourires à la me
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e d’éternel. Tous les drames du monde ne sont que
décors
mouvants dans la lueur bariolée des sentiments, ils ne sont que refle
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secrètement à son aventure. Nous vivons dans un
décor
flamboyant de glaces. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête, son