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une partie du Paradis à l’ombre des épées 1, son
dernier
livre, est consacrée à « fondre dans une unité supérieure » l’antinom
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e jouait avec la rose. Les dés roulèrent, pour un
dernier
enjeu. Alors la femme lança sur la table cette rose qui s’effeuilla s
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he encore. On a pourtant l’impression, à voir ses
dernières
toiles, d’une plus grande certitude intérieure. Les visages sont plus
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comprend plus rien. » Des bugles agonisaient, aux
dernières
mesures d’un tango. Notre encombrante conquête revint s’asseoir auprè
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e fut apaisée, je m’aperçus que j’étais seul. Une
dernière
auto, extraordinairement silencieuse, absolument silencieuse fila dev
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e comprendre par un sot que par un fou. » L’hiver
dernier
, m’occupant assez longuement d’un des poètes auxquels notre temps doi