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moureusement, des chiens « qui vous faufilent des
douceurs
au bas des jambes », jusqu’à ces chats qui griffent et lèchent altern
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ù pourtant les hivers les plus durs réservent des
douceurs
secrètes. 7. Publication dont cette revue entretenait récemment ses
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i silence : déjà je leur échappe — je t’échappe ô
douceur
de vivre ! Tout redevient autour de moi insuffisant, transitoire, all
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es étoiles les eaux profondes qui échangent leurs
douceurs
. Tiens moi bien nous allons partir l’air s’entrouvre un feu rose éc
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u es toujours plus sereine infiniment nue dans la
douceur
du feu et de la joie. V Oh qui a retiré tes mains des miennes quan