1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 moureusement, des chiens « qui vous faufilent des douceurs au bas des jambes », jusqu’à ces chats qui griffent et lèchent altern
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 ù pourtant les hivers les plus durs réservent des douceurs secrètes. 7. Publication dont cette revue entretenait récemment ses
3 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
3 i silence : déjà je leur échappe — je t’échappe ô douceur de vivre ! Tout redevient autour de moi insuffisant, transitoire, all
4 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
4 es étoiles les eaux profondes qui échangent leurs douceurs . Tiens moi bien nous allons partir l’air s’entrouvre un feu rose éc
5 u es toujours plus sereine infiniment nue dans la douceur du feu et de la joie. V Oh qui a retiré tes mains des miennes quan