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une allégresse héroïque qu’infuse à son corps la
douce
matière. L’air et le sol, dieux rivaux, se le disputent, et il oscill
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pleins de rêves, la misère qui fait des soirs si
doux
aux amants quand ils n’ont plus que des baisers au goût d’adieu, et l
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Mais l’ombre de cette ville illusoire est la plus
douce
à mes vagabondages sans but. Vous savez, je lance mes filets dans l’e
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là-bas, cette folie m’apparaît comme une chose si
douce
et si grande… »11 Et Bettina terminant sa lettre sur Hölderlin : « C