1
exceptionnellement compliquées, qui s’exprimaient
en
une langue plus compliquée encore et nuancée jusqu’à l’ennui. La guer
2
naissance à la doctrine de M. de Montherlant, qui
en
est sortie toute formée et casquée pour la lutte de l’après-guerre. ⁂
3
ns cette conception simpliste du monde, qui n’est
en
rien différente de celle de l’Action française ; remarquons toutefois
4
therlant son admirable lyrisme de poète du stade.
En
un style d’une fermeté presque brutale parfois, un style de sportif,
5
que je n’entends pas ? » — Mais plus que le corps
en
mouvement, c’est la domination de la raison sur ce corps qui est exal
6
éral de la morale sportive : « la règle de rester
en
dedans de son action, application de l’immense axiome formulé par Hés
7
« éthique du sport » tempérée de raison. Ce qu’on
en
peut retenir, c’est la méthode, car je crois qu’elle sert mieux la dé
8
mieux la démocratie que l’Église romaine, quoi qu’
en
pense M. de Montherlant. Et voici, ô paradoxe, qu’il rejoint Kant, Ka
9
non plus seulement un homme de lettres. Un homme
en
qui s’équilibrent déjà l’enthousiasme d’une jeunesse saine et la rete
10
s-le donc du salut des équipes avant le match : «
En
l’honneur d’Henry de Montherlant, hip, hip, hurrah ! » 1. Éditions
11
. Mais leurs recherches n’ont pas été vaines. Ils
en
reviennent chargés de chefs-d’œuvre, et plus conscients de leurs moye
12
vènement d’un classicisme nouveau. M. Meili a mis
en
évidence cette courbe de la peinture moderne avec une netteté et un r
13
s’agit d’adapter des traditions antiques au dogme
en
formation. Au Moyen Âge l’évolution se continue dans le même sens. On
14
le seul médiateur à qui doit s’adresser le culte,
en
son cœur, du croyant. Le centre de gravité religieux est replacé en C
15
oyant. Le centre de gravité religieux est replacé
en
Christ. — Comment l’Église catholique réagit-elle ? En codifiant l’ét
16
rist. — Comment l’Église catholique réagit-elle ?
En
codifiant l’état de choses antérieur. Donc l’Église continue à faire
17
t pour affirmer avec d’autant plus de force que «
en
situant tout le devoir chrétien dans l’accomplissement scrupuleux, jo
18
avec beaucoup d’intelligence l’avocat du diable,
en
montrant que tous les faits religieux admettent à côté de l’explicati
19
choisir. M. le pasteur Bertrand de Lyon, répondit
en
exposant les exigences de l’Évangile en face de la pensée moderne, et
20
de la théologie moderne avec l’action religieuse
en
s’appuyant sur des expériences faites pendant le réveil de la Drôme,
21
e, qui se trouva préciser bien des points laissés
en
suspens dans la première partie de la conférence. Puis M. A. Brémond,
22
ie de la conférence. Puis M. A. Brémond, étudiant
en
théologie, présenta deux ouvriers de Paris, Clerville et Janson, dont
23
re de la Mentalité prolétarienne. Brémond conclut
en
montrant la nécessité et les difficultés d’une action missionnaire da
24
tant pis. » Cinq conférences et autant de cultes
en
trois jours, cela peut paraître excessif à qui n’a pas connu l’atmosp
25
la gaieté la plus charmante. On y vit un ouvrier
en
maillot rouge assis entre un banquier et un philosophe au milieu d’un
26
ne crois pas qu’il puisse se produire ailleurs qu’
en
terre romande. C’est l’esprit de liberté, tout simplement. Mais préci
27
incre. Après les exposés de Janson, de Brémond, j’
en
sais plusieurs qui ont ainsi « lâché » pas mal de préjugés en matière
28
ieurs qui ont ainsi « lâché » pas mal de préjugés
en
matières sociales. Mais ce qui est peut-être plus important, on eut l
29
voix contradictoires d’un débat que tous menaient
en
eux-mêmes loyalement. Et ce désir d’arriver à quelque chose de défini
30
on étrange d’une salle où les spectateurs étendus
en
pyjamas sur des paillasses attendraient en vain le lever d’un rideau
31
euse : je me sentis nu, tout le monde devait voir
en
moi une tare que j’étais seul à ignorer, était-ce ma fatigue seulemen
32
alte, et tout ce qui la dompte, tout ce qui sourd
en
moi de trop grand pour ma vie — toute ma joie ! » Ce n’était plus un
33
e but de me rendre mieux apte à vivre pleinement.
En
priant, je m’arrête parfois, heureux : « J’ai donc la foi ? » Mais c’
34
et c’est le tout. S’il est une révélation, c’est
en
me rendant plus parfait que je lui préparerai les voies. Agir ? Sur m
35
moi d’abord. Il ne faut plus que je respecte tout
en
moi. Je ne suis digne que par ce que je puis devenir. Se perfectionne
36
s de l’expérience et d’un sentiment de convenance
en
quoi se composent le plaisir et la conscience de Mes limites. Je m’at
37
’être dangereuse. (On donne corps à une faiblesse
en
la nommant ; or je ne veux plus de faiblesses4.) Et demain peut-être,
38
Et demain peut-être, agir dans le monde, si je m’
en
suis d’abord rendu digne. L’époque nous veut, comme elle veut une con
39
artie d’un ensemble social et dans la mesure où j’
en
dépends, je me dois de m’employer à sa sauvegarde ou à sa transformat
40
iquettes sur mes actes… Déjà je sens un sourire —
en
songeant à ces raisonnements que je me tiens — plisser un peu mes lèv
41
actère de certitude qu’elles n’avaient pas encore
en
moi. C’est en quoi ma sincérité est tendancieuse. 5. Quant à adhérer
42
itude qu’elles n’avaient pas encore en moi. C’est
en
quoi ma sincérité est tendancieuse. 5. Quant à adhérer à une doctrin
43
impérieux au point qu’il faut que certaines voix
en
moi taisent leur protestation, étouffées par des forces qui se lèvent
44
rde d’emblée avec ce qu’il y a de plus bondissant
en
nous ; en prise directe sur notre énergie physique. Partout rôdent de
45
ée avec ce qu’il y a de plus bondissant en nous ;
en
prise directe sur notre énergie physique. Partout rôdent des présence
46
chats qui griffent et lèchent alternativement, «
en
vraies bêtes de désir ». Une intelligence si profonde de la vie anima
47
nts »6. Mais envers les taureaux cet amour tourne
en
adoration ou en une véritable horreur sacrée. Voici Alban devant une
48
ers les taureaux cet amour tourne en adoration ou
en
une véritable horreur sacrée. Voici Alban devant une bête qu’il devra
49
La violence même qui sourd dans son être intime l’
en
empêche, le préserve des états d’incertitude douloureux, où ces probl
50
les. Le tragique de la vie ne lui échappe pas. Il
en
parle, il le chante avec pathétique. Mais c’est parce qu’il est poète
51
lant est aux antipodes de ceux-là « qui cherchent
en
gémissant ». Mais cette personnalité dont il manifeste avec une magni
52
forces créatrices, ne vaut-elle pas d’être élevée
en
témoignage pour notre exaltation ? Comme la vue des athlètes en actio
53
pour notre exaltation ? Comme la vue des athlètes
en
action, un tel livre communique une puissance physique, un mouvement
54
es et roses. De l’autre côté, c’est le vide, où s’
en
vont lentement les eaux et les lueurs, vers la mer. Sur le Lungarno t
55
ient au pas des Cascine. Vers sept heures, il n’y
en
eut presque plus. Nous étions seuls sur le pavé qui exhalait sa chale
56
us parviennent au ras du fleuve sombre. Nul désir
en
nous de comprendre ce lamento. Le ciel est un silence qui s’impose à
57
, et qui nous laisse gourds et faibles, caressant
en
nous la lâche volupté de sentir l’esprit se défaire et couler sans fi
58
va peut-être composer tous les bruits de la ville
en
un chant immense. Il passe une possibilité de bonheur par personne et
59
d j’eus fini de boire, mes pensées plus rapides s’
en
allèrent un peu vers l’avenir et j’osai quelques rêves. C’était, je m
60
l’avenir et j’osai quelques rêves. C’était, je m’
en
souviens, une petite automobile qui roulait dans la banlieue printani
61
journal. Soudain, portant la main à son gilet, il
en
retira trois dés qu’il jeta sur la table. Les yeux brillants, il comp
62
ous remercie, Monsieur… Il saisit son journal. Il
en
parcourait rapidement les pages, la proie d’une agitation visible. Bi
63
ue. Et je me refusais sans cesse aux questions qu’
en
moi-même posait ma raison effarée. L’étranger s’animait aussi : une f
64
ollement d’une destinée dans l’autre, de douleurs
en
ivresses avec la même joie, mon cheval fou, mon beau Désir s’ébroue e
65
. Je vis qu’une femme était assise à notre table,
en
robe rouge, et très fardée. Elle jouait avec la rose. Les dés roulère
66
ement au-dessus des rues parcourues de longs cris
en
voyage. Je me sentis perdre pied délicieusement. Et de cette nuit peu
67
répète : paradoxes, mais cela ne suffit plus à m’
en
délivrer. Ma vie m’a repris, je ne suis pas heureux. Je sais très bie
68
r impartial. M. Lombard, recteur de l’Université,
en
introduisant le conférencier, a fait allusion aux divers points de vu
69
la plus grande liberté à la plus grande tyrannie.
En
proclamant la liberté religieuse, Henry IV mettait le royaume à la tê
70
mettait le royaume à la tête de la civilisation ;
en
interdisant aux réformés d’exercer leur religion, mais en même temps
71
guerre de Trente Ans, l’orateur expose comment on
en
vint à la révocation. C’est d’abord l’influence du clergé, jaloux de
72
er les erreurs de sa jeunesse. Le roi, « un niais
en
matière religieuse » au dire de sa belle-sœur, la princesse palatine,
73
succède aux dragonnades. M. Esmonin s’abstient d’
en
faire un tableau qu’il suppose présent à l’esprit de ses auditeurs. I
74
e présent à l’esprit de ses auditeurs. Il termine
en
citant le jugement d’Albert Sorel, selon qui la date du 16 octobre 16
75
de la France. Déviation telle, en effet, que nous
en
sentons les conséquences de nos jours encore, ajoute M. Esmonin. Et n
76
nts les plus modernes, et sont bien situés pour n’
en
prendre que le meilleur ; mais l’émulation, l’atmosphère de combat né
77
rvante, souvent fatale aux novateurs. Alors ils s’
en
vont à Paris, ou bien ils se retirent dans une solitude plus effectiv
78
Voilà le train du monde… » Je ne pense pas qu’il
en
faille gémir. Une certaine résistance est nécessaire pour que la forc
79
oins d’incompréhension que de timidité. ⁂ On ne m’
en
voudra pas de ne citer ni dates de naissance, ni traits d’enfance gén
80
e Bouvier, qui a 25 ans, jusqu’à André Evard, qui
en
a près de 50, si les peintres dont nous allons parler méritent d’être
81
ui ornaient les fenêtres, dans une chambre peinte
en
bleu vif et ornée de surprenants batiks, il s’est livré pendant quelq
82
ès volontaire, qui connaît ses ressources et sait
en
user avec la sobriété qui produit le maximum d’expression. Cette « si
83
ndre à la voluptueuse rigueur latine, et qui tout
en
s’épurant dans des formes claires a su les renouveler. Il nous apport
84
x, mais les autres sont soulagés. Et ne fût-ce qu’
en
prenant une initiative comme celle de Neuchâtel 1927 7 il aura bien m
85
t, Meili achève la décoration d’une salle d’hôtel
en
collaboration avec Paul Donzé. Qui eût cru que ce paysagiste plutôt i
86
ne pourrait pas se tromper plus. ⁂ À vrai dire j’
en
vois peu parmi les jeunes qui vouent tout leur amour à la peinture pu
87
é touché à son tour par la grâce décorative, il n’
en
reste qu’un, du moins à Neuchâtel même : Eugène Bouvier. Ce garçon au
88
reparaître… Charles Humbert ou comment on passe
en
cinq ans de Baudelaire à Rubens. Il fut un temps où l’on put craindre
89
ucoup attendre de ce tempérament qui fait jaillir
en
lui sans cesse des possibilités imprévues. Il y a un côté « homme de
90
Charles Humbert livré à sa fougue originale. Il y
en
a plus encore chez un Aurèle Barraud. Il suffit de le voir peint par
91
d. Il suffit de le voir peint par lui-même pour s’
en
assurer. La tête large, aux yeux clairs et assurés, le cou robuste, l
92
si, d’un œil regardant le sujet, de l’autre ce qu’
en
fait son mari). Et puis voici François Barraud, le plus jeune des frè
93
er guide plus pittoresque. Celui-ci s’était égaré
en
avant, très en avant, sans s’en apercevoir, peut-être. Il suivait son
94
ittoresque. Celui-ci s’était égaré en avant, très
en
avant, sans s’en apercevoir, peut-être. Il suivait son petit bonhomme
95
-ci s’était égaré en avant, très en avant, sans s’
en
apercevoir, peut-être. Il suivait son petit bonhomme de chemin sans s
96
toile appuyée au mur, c’est un Renoir… Retournez-
en
une autre, ce doit être un dessin d’horlogerie, ou quelque plan d’une
97
transparents, cellule de quelque palais de glaces
en
miniature, sorte de boîte à miracles où sous un éclairage très net, m
98
rité il faut être sorcier ou artiste pour changer
en
instruments métaphysiques ces bonnes montres de précision de La Chaux
99
lque sorte, supposant une décomposition primitive
en
plans. C’est ainsi qu’il atteint d’emblée dans ses statues à un beau
100
et qu’Alice Perrenoud combine de petits tableaux
en
papiers découpés, avec une ingéniosité délicieusement féminine, une é
101
ive. Est-il possible, au sein de ce mouvement, d’
en
distinguer d’autres plus organiques ? D’une part il y a des préoccupa
102
mation d’un groupe dont l’activité serait féconde
en
ce pays. D’autre part, des œuvres aussi différentes par leur objet et
103
soir entre deux airs anglais Le Beau Danube bleu,
en
commémoration polie d’un passé imaginaire, ou peut-être pour essayer
104
Vienne tout occupée à ressembler à l’idée qu’on s’
en
fait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée autour du cen
105
e nom lorsque je m’assis dans l’ombre du théâtre,
en
retard, un peu ennuyé de me trouver à côté d’une place vide : la joli
106
nsi je m’abandonne au rêve d’un monde que suscite
en
moi seul peut-être cette plainte heureuse des violons. Le diable sort
107
de la jeune fille si transparente : la mort même
en
devient moins brutale. Elle rôde ici comme une tristesse amoureuse. E
108
es décisions de la vie quotidienne. Gérard tenait
en
laisse le fameux homard enrubanné. « Cela vexe les Viennois, me dit-i
109
de me moquer de leurs petits chiens musclés… Je n’
en
suis pas fâché. » Il y avait peu de monde dans les rues. Des jeunes
110
savez, je n’ai aimé qu’une femme — au plus deux,
en
y réfléchissant bien, mais peut-être était-ce la même sous deux attri
111
uaient cet amour, c’était parce que je découvrais
en
elles de secrètes ressemblances, qui pour d’autres paraissaient purem
112
ait qu’un regard, un certain regard, mais j’ai su
en
retrouver la sensation jusque dans les choses — et c’est cela seul qu
113
arinthie. Gérard lui paya quelques œillets rouges
en
lui expliquant qu’elle devait les donner à la première jolie femme qu
114
otto », et qu’avec mes amis nous devions baptiser
en
style viennois « Mehlspeis-Schlagobers »10. Heureusement qu’au Moulin
115
et de cors anglais jouant la Marche de Tannhäuser
en
tango, un Balkanique très lisse nous délivra de notre conquête pour l
116
tre venu. — Certes, je comprends que l’Europe est
en
décadence quand je la regarde s’amuser. Je vois se perdre ce sens des
117
s femmes aussi ravissantes que celle-là qui danse
en
robe mauve, avec tant de gravité et de détachement. Je viens souvent
118
ent baguées de ces courtiers alourdis de “Knödl”.
En
Orient on en ferait une chose extrêmement précieuse, qu’on n’approche
119
e ces courtiers alourdis de “Knödl”. En Orient on
en
ferait une chose extrêmement précieuse, qu’on n’approcherait qu’avec
120
seoir auprès de nous. Gérard songeait, muet, et n’
en
buvait pas moins. « Pourquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton
121
mes filets dans l’eau des nuits, et quelquefois j’
en
ramène des animaux aux yeux bizarres où je sais lire les signes. » Co
122
une et sa moitié d’ombre. Et parce que tout revit
en
un instant dans cette vision, il connaît enfin la substance véritable
123
une Vie simultanée de Gérard, qui tiendrait toute
en
une heure, en un lieu, en une vision. » Nous sortîmes. Seules des tr
124
anée de Gérard, qui tiendrait toute en une heure,
en
un lieu, en une vision. » Nous sortîmes. Seules des trompes d’autos
125
rd, qui tiendrait toute en une heure, en un lieu,
en
une vision. » Nous sortîmes. Seules des trompes d’autos s’appelaient
126
t, le homard se réveilla. Gérard m’expliqua qu’il
en
était ainsi chaque nuit, que l’animal devenait nerveux et que depuis
127
ues semaines, il avait dû le mettre au caviar. Il
en
demanda donc une petite portion et la fit prendre au homard avec tout
128
pied sur l’autre dans de la neige fondante, tout
en
croquant une de ces saucisses à la moutarde qu’on appelle ici « Frank
129
es cavaliers. Tout cela s’empila dans des autos ;
en
dix minutes, il n’y eut plus personne, la place s’éteignit. Mais Géra
130
ent, à la sortie des invités, sur une femme qui s’
en
allait toute seule vers une auto à l’écart des autres. Une femme aux
131
à l’écart des autres. Une femme aux cheveux noirs
en
bandeaux, au teint pâle, l’air d’autrefois. Il avait murmuré : Marie
132
D’ailleurs on ne lui doit rien, n’est-ce pas ? Il
en
tombe d’accord ; accepte d’attendre comme un enfant sage que le monde
133
ndre comme un enfant sage que le monde lui donne,
en
son temps, sa petite part. On lui a expliqué qu’il fallait la mériter
134
. En d’autres termes, on lui conseille de rentrer
en
lui-même. « Il se ramène en soi, n’ayant plus où se prendre » comme p
135
ssi bien par celle des miroirs. C’est pourquoi il
en
installe un sur sa table de travail, de façon à pouvoir s’y surprendr
136
d’autres hiatus de ce genre, qui l’intriguent à n’
en
pas finir. Quand il est très fatigué, il veut voir encore cette fatig
137
dans son regard : appuyé sur lui-même il se perd
en
méditations éléates. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se vo
138
e il se perd en méditations éléates. Le sommeil l’
en
délivre. Au matin il court se voir : il est laid. Lâchement il se pre
139
ourt se voir : il est laid. Lâchement il se prend
en
pitié. Ces séances lui font du mal, l’énervent, mais l’aveu qu’il en
140
es lui font du mal, l’énervent, mais l’aveu qu’il
en
consent l’attache plus secrètement à son aventure. Nous vivons dans
141
ue pas, on offre à Stéphane sa tête, son portrait
en
pied. Il se voit dans l’acte de se raser, de se baigner ; son image d
142
s’épuise dans une perspective de reflets qui vont
en
diminuant vertigineusement et l’égarent dans sa nuit. Je saute quelqu
143
décrire l’aspect psychologique d’une aventure qui
en
a bien d’autres, d’aspects. Il est bon que le lecteur dérisoirement t
144
nvahit. C’est une sorte de vieillard qui reparaît
en
Allemagne. Et durant trente années, ce pauvre corps abandonné vivra d
145
au bord de l’eau, un peu au-dessous de la maison,
en
attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de lou
146
« Friedrich Hölderlin » à côté d’un « Hypérion ».
En
cherchant, je trouverais bien aussi un « Nietzsche » à fond plat. Des
147
uestionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il y
en
a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pas trop qui c’était… Alo
148
on propose le couple à l’admiration des écoliers
en
promenade, et le guide désigne familièrement l’image d’une femme par
149
que. Je n’aime pas les jeunes Doktors à lunettes,
en
costume de bain, qui pagayent vigoureusement, les dents serrées. (« W
150
il n’est revenu qu’un vieux corps radotant. — Qu’
en
pensez-vous, bonnes gens ?… Il a eu tort, sans doute. Tout le monde s
151
e telle femme qui la confesse : « Celui qui entre
en
commerce trop étroit avec le ciel, les dieux le vouent au malheur. »
152
médiocrité spécifiquement française — et nul ne s’
en
déclare gêné, me semble-t-il… 3. Si nous jetons sur les lettres pari
153
» comme dit M. Gabriel Marcel, présente Nietzsche
en
Nouveau Messie, comme dit Annie Besant. Et c’est charmant, disent les
154
nt le jeu est trop facile. Allez donc vous mettre
en
colère contre l’insignifiance ! On ne nous laisse même plus la colère
155
ec des pamphlets qu’on la lui rend ? Je le trouve
en
tout cas bien tonique, celui que Beausire et Simond viennent d’écrire
156
sme. 5. La critique est aisée, répètent ceux qui
en
ont peur, ceux-là mêmes, bien sûr, qui, sous prétexte de sa difficult
157
outrances dans tout ceci. Mais je voudrais que s’
en
offusquent ceux-là seuls que l’outrancière habileté contemporaine écœ
158
s et aussi peu tragiques que possible. « Il n’y a
en
eux aucun silence, aucune interrogation, aucune volonté supérieure de
159
e domination et de puissance… On ne se pose plus,
en
France, de questions qui dépassent un certain plan. C’est mal vu. » O
160
ils ne peuvent résoudre sur-le-champ. Ils mettent
en
jeu des systèmes de valeurs plus ramifiés, plus organiques. Ils ne so
161
rescents. Voyez Bertram, Gundolf, Rudolf Kassner…
En
France, hélas ! une logique verbale et le clair génie que l’on sait s
162
uilibre, le trouvent bien vite, comme de juste, s’
en
lassent, cherchent alors un déséquilibre, s’en effraient, repartent v
163
s’en lassent, cherchent alors un déséquilibre, s’
en
effraient, repartent vers la foi et s’arrêtent chez un éditeur. Cela
164
du Lido : bien décidé à ne rien acheter qui mette
en
péril le budget mensuel. Ô sens de la mesure ! (Mais où les audaces s
165
ute sa volonté, telle inéluctablement qu’elle est
en
Dieu — et soit qu’il sache ou qu’il ignore que la grâce seule permet
166
t une variation dans mes relations avec le monde.
En
quoi cette première question est assez indiscrète. II Il y aurait be
167
r la basse pègre du monde spirituel. Ce n’est pas
en
détraquant nos sens ou notre raison, ce n’est pas en nous efforçant d
168
détraquant nos sens ou notre raison, ce n’est pas
en
nous efforçant de délirer que nous atteindrons une réalité supérieure
169
ous atteindrons une réalité supérieure, mais bien
en
surpassant nos sens par notre intelligence, celle-ci à son tour par u