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e pour louer comme il conviendrait la clarté d’un
exposé
solidement documenté, et le scrupule d’historien et de chrétien qui p
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moins à convaincre qu’à se convaincre. Après les
exposés
de Janson, de Brémond, j’en sais plusieurs qui ont ainsi « lâché » pa
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ctorieuse dans la guerre de Trente Ans, l’orateur
expose
comment on en vint à la révocation. C’est d’abord l’influence du cler
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t dans l’ouvrage qu’il va consacrer à Louis XIV l’
exposé
si dénué de parti pris, si libre et d’une si élégante science du symp