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t vers les berges du fleuve jaune, entre les deux
façades
longues que la ville présente au couchant, dans ce corridor de lumièr
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s sur les champs sombres du ciel de l’est, et une
façade
parfaite répond encore au couchant. San Miniato sur sa colline. Derri
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qui s’appuie sur son œuvre ! La sérénité de cette
façade
élevée lumineuse sur le ciel fut le signe d’un équilibre retrouvé. Un
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l’oubli luxueux des rues. Le long de l’Arno, les
façades
sont jaunes et roses près de l’eau, puis perdent dans la nuit leurs l