1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 ués de l’esprit qui les exerce, des voluptés plus faciles — pour infuser dans nos corps charmés d’un repos sans rêves une langu
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 os artistes. Mais n’allez pas croire à des grâces faciles ou sentimentales. Il y a une sorte d’aristocratique dissimulation dan
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
3 philosophe, et vous allez me dire que c’est trop facile pour un homme retiré du monde depuis si longtemps. Livrons-nous plutô
4 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
4 rment sur le vide tu pleurerais mais la grâce est facile comme un matin d’été la grâce tendrement dénouée de ta vie comme de c
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
5 joliment un fin lettré. (Vraiment le jeu est trop facile . Allez donc vous mettre en colère contre l’insignifiance ! On ne nous
6 i de la critique d’un certain état d’esprit moins facile à formuler qu’à décrire dans ses effets, et qui paraît affecter d’un
7 z à dédaigner cette vertu qu’il est vraiment trop facile de nommer l’avarice française, il vous reste à choisir entre le sort