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e me resta qu’une fatigue profonde ; je devins si
faible
et démuni, livré aux regards d’une foule absurde, bienveillante, repu
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i n’est pas humaine, et qui nous laisse gourds et
faibles
, caressant en nous la lâche volupté de sentir l’esprit se défaire et
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nd Jeu. Dix années où le génie tourmente cet être
faible
, humilié par le monde. L’amour s’éloigne le premier, quand Hölderlin
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glots perdus qui rôdent à la recherche d’un corps
faible
. Je ne sais pas où tu m’attends mais je sais comment tu pleurais. A
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e. Certains fantômes m’apparaissent quand je suis
faible
, malade ou ivre, c’est-à-dire quand je suis dominé par le monde. Ils