1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 e me resta qu’une fatigue profonde ; je devins si faible et démuni, livré aux regards d’une foule absurde, bienveillante, repu
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 i n’est pas humaine, et qui nous laisse gourds et faibles , caressant en nous la lâche volupté de sentir l’esprit se défaire et
3 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
3 nd Jeu. Dix années où le génie tourmente cet être faible , humilié par le monde. L’amour s’éloigne le premier, quand Hölderlin
4 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
4 glots perdus qui rôdent à la recherche d’un corps faible . Je ne sais pas où tu m’attends mais je sais comment tu pleurais. A
5 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
5 e. Certains fantômes m’apparaissent quand je suis faible , malade ou ivre, c’est-à-dire quand je suis dominé par le monde. Ils