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e 1926)i Des cris mouraient vers les berges du
fleuve
jaune, entre les deux façades longues que la ville présente au coucha
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ous qui suivions maintenant le sentier du bord du
fleuve
, plus bas que la Promenade désertée. Sur les eaux, comme immobiles, d
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ions vers ces hauts arbres clairs, au tournant du
fleuve
, parmi les dissonances mélancoliques des lumières et des odeurs, espé
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volupté emplit notre monde à ce chant. L’odeur du
fleuve
est son parfum, le soleil rouge sa douleur. Les bœufs blancs, les rou
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proches, les syllabes nous parviennent au ras du
fleuve
sombre. Nul désir en nous de comprendre ce lamento. Le ciel est un si
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es. Ici la vie n’a presque plus de sens, comme le
fleuve
. Elle n’est qu’odeurs, formes mouvantes, remous dans l’air et musique
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couler sans fin vers un sommeil à l’odeur fade de
fleuve
, un sommeil de plante vaguement heureuse d’être pliée au vent qui ne