1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 s sanglants. Pour ma part, je le trouve assez peu humain et comme obsédé par une idée de violence tonique certes, mais décidém
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 brume, une vie étrangère, une paix qui n’est pas humaine , et qui nous laisse gourds et faibles, caressant en nous la lâche vol
3 nous, érigeait l’image de la lutte et des forces humaines , et rendait sous des coups un son qui nous évoqua les rumeurs de vill
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 ure, à ces natures remises à neuf, l’imperfection humaine qui touche. Mais l’atmosphère pure de ces espaces définis par quelque
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 tanées du plaisir qui seules faisaient sa dignité humaine , parce qu’elles le rattachaient aux buts les plus hauts de notre vie.
6 emment scandalisée par cette atteinte aux lois du genre le plus conventionnel qui soit. Gérard la regarda avec une certaine p
5 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
7 s autos. Il préfère s’intéresser aux divers types humains . Mais on lui sait peu de grés de sa curiosité. Sans doute est-il trop
8 découragement ; et beaucoup d’autres hiatus de ce genre , qui l’intriguent à n’en pas finir. Quand il est très fatigué, il veu
6 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
9 grave — car il vécut dans ces marches de l’esprit humain qui confinent peut-être à l’Esprit et dont certains des plus purs d’e
10 ute. Tout le monde s’accorde à trouver malsain ce genre de tentatives : cela ne peut que mal finir. Ceux du bon sens hochent
11 âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine , est plus divine, quand c’est une telle femme qui la confesse : « Cel
7 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
12 ’une des époques les plus violentes de l’histoire humaine  ; ils assistent à des bouleversements sociaux, moraux et surtout spir
13 « tracé peut-être pour toujours les limites de l’ humaine liberté ». Simond réclame « un parti pris…, un ordre de valeurs, si a
14 int oublier que l’existence du Christ donne à « l’ humaine liberté » des limites d’une nature que Léonard ne soupçonna même pas