1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
1 ychanalyste distingué, qui se fit avec beaucoup d’ intelligence l’avocat du diable, en montrant que tous les faits religieux admetten
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 ge à doses égales de mort et de vie. Et c’est à l’ intelligence de faire primer la vie, puisque n’est pas encore parfait cet instinct
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 lternativement, « en vraies bêtes de désir ». Une intelligence si profonde de la vie animale suppose entre l’homme et la bête une sy
4 soucient avant tout de trouver des réponses de l’ intelligence ou de la foi aux inquiétudes profondes de leurs âmes séparées de Dieu
5 s à ces forces obscures qui nous replacent dans l’ intelligence de l’instinct universel et nous élèvent à une vie plus âpre et violem
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
6 or qui est le rêve éternisé des plus voluptueuses intelligences — tous les tableaux dans le noir des musées ! — et si tu veux soudain
5 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
7 ieure, mais bien en surpassant nos sens par notre intelligence , celle-ci à son tour par une volonté qui l’oriente vers certains état