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Mais ce n’est pas d’elle que vient cette chanson
jamais
entendue qui nous accompagne depuis un moment sur le chemin de l’autr
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ne buée sans couleurs, nous quittons un mystère à
jamais
impénétrable pour l’homme, nous fuyons ces bords où conspirent des om
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uement heureuse d’être pliée au vent qui ne parle
jamais
. Nous fûmes si près de choir dans ton silence. Nature ! qui nous eniv
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alope, caracole, éclabousse, ils n’y comprendront
jamais
rien, écoutez-les, comme ils me jugent et leurs cris indignés qui cou
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usement. Et de cette nuit peut-être, je ne saurai
jamais
rien… (sinon qu’au lendemain je n’avais plus un sou). Je n’ai jamais
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qu’au lendemain je n’avais plus un sou). Je n’ai
jamais
revu l’étranger. Quelquefois je songe à ses paroles — ou peut-être n’
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paysagiste plutôt impressionniste s’astreindrait
jamais
aux exigences de la technique décorative ! Voilà qui laisse espérer p
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e, il peint Florence avec des roses et des jaunes
jamais
mièvres, sous l’œil méfiant des fascistes qui le prennent pour un agi
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… Mais vous savez, « les autres » n’y comprennent
jamais
rien, dès qu’on aime… Oh ! cette femme ! elle n’était qu’un regard, u
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es à leur banalité ? Est-ce qu’ils ne soupçonnent
jamais
rien ? Ou bien, peut-être, seulement, quand l’amour leur donne une pe
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u’ensuite on fasse appel à Valéry ou au Surhomme,
jamais
absent d’ici, et je reprends ma liberté. Beausire admire Léonard d’av
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Vos fantômes ne sont pas les miens, et qui saura
jamais
s’ils ne sont pas pour moi « des choses » — et réciproquement. La dis