1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 Mais ce n’est pas d’elle que vient cette chanson jamais entendue qui nous accompagne depuis un moment sur le chemin de l’autr
2 ne buée sans couleurs, nous quittons un mystère à jamais impénétrable pour l’homme, nous fuyons ces bords où conspirent des om
3 uement heureuse d’être pliée au vent qui ne parle jamais . Nous fûmes si près de choir dans ton silence. Nature ! qui nous eniv
2 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
4 alope, caracole, éclabousse, ils n’y comprendront jamais rien, écoutez-les, comme ils me jugent et leurs cris indignés qui cou
5 usement. Et de cette nuit peut-être, je ne saurai jamais rien… (sinon qu’au lendemain je n’avais plus un sou). Je n’ai jamais
6 qu’au lendemain je n’avais plus un sou). Je n’ai jamais revu l’étranger. Quelquefois je songe à ses paroles — ou peut-être n’
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 paysagiste plutôt impressionniste s’astreindrait jamais aux exigences de la technique décorative ! Voilà qui laisse espérer p
8 e, il peint Florence avec des roses et des jaunes jamais mièvres, sous l’œil méfiant des fascistes qui le prennent pour un agi
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 … Mais vous savez, « les autres » n’y comprennent jamais rien, dès qu’on aime… Oh ! cette femme ! elle n’était qu’un regard, u
5 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
10 es à leur banalité ? Est-ce qu’ils ne soupçonnent jamais rien ? Ou bien, peut-être, seulement, quand l’amour leur donne une pe
6 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
11 u’ensuite on fasse appel à Valéry ou au Surhomme, jamais absent d’ici, et je reprends ma liberté. Beausire admire Léonard d’av
7 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
12 Vos fantômes ne sont pas les miens, et qui saura jamais s’ils ne sont pas pour moi « des choses » — et réciproquement. La dis