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i Des cris mouraient vers les berges du fleuve
jaune
, entre les deux façades longues que la ville présente au couchant, da
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eux des rues. Le long de l’Arno, les façades sont
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et roses près de l’eau, puis perdent dans la nuit leurs lignes graves
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papa-maman et l’Habitude, leur marraine aux dents
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. Ah ! perdre, perdre ; et c’est toujours à qui perd gagne ! Sauter fo
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Fiesole, il peint Florence avec des roses et des
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jamais mièvres, sous l’œil méfiant des fascistes qui le prennent pour
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des étudiants au crâne rasé se promènent un roman
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à la main. L’un après l’autre, dans cette paresse de jour férié, les
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et des collines basses, de l’autre côté de l’eau
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et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et ce