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sourd en moi de trop grand pour ma vie — toute ma
joie
! » Ce n’était plus une douleur rare que j’aimais dans ces brutalité
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scillations silencieuses dans ma demi-conscience.
Joie
, dégoût, lueurs éteintes dans une nuit froide. Les notes d’un chant q
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, qu’ils l’emportent d’un flot fou ! Revenez, mes
joies
du large !… Tiens, j’écoute le vent ; je pense au monde. Chant des ho
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es lumières. Architectures ! langage des dieux, ô
joies
pour notre joie mesurées, courbes qu’épousent nos ferveurs, angles pu
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itectures ! langage des dieux, ô joies pour notre
joie
mesurées, courbes qu’épousent nos ferveurs, angles purs, repos de l’e
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ement. Les couleurs du bar me remplissaient d’une
joie
inconnue. Et je me refusais sans cesse aux questions qu’en moi-même p
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ans l’autre, de douleurs en ivresses avec la même
joie
, mon cheval fou, mon beau Désir s’ébroue et part sitôt que je vais m’
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t à me regarder bizarrement et j’étais possédé de
joies
et de peurs. Il fallut se lever, traverser le café dans la musique et
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épris et de désespoir, ô vie sans faute, vie sans
joie
… Ah ! plus amère, plus amère encore, saurai-je un jour te désirer, te
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vre… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les
joies
de la jeunesse, voilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui.
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ne infiniment nue dans la douceur du feu et de la
joie
. V Oh qui a retiré tes mains des miennes quand je te regardais tro