1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 sourd en moi de trop grand pour ma vie — toute ma joie  ! » Ce n’était plus une douleur rare que j’aimais dans ces brutalité
2 scillations silencieuses dans ma demi-conscience. Joie , dégoût, lueurs éteintes dans une nuit froide. Les notes d’un chant q
3 , qu’ils l’emportent d’un flot fou ! Revenez, mes joies du large !… Tiens, j’écoute le vent ; je pense au monde. Chant des ho
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 es lumières. Architectures ! langage des dieux, ô joies pour notre joie mesurées, courbes qu’épousent nos ferveurs, angles pu
5 itectures ! langage des dieux, ô joies pour notre joie mesurées, courbes qu’épousent nos ferveurs, angles purs, repos de l’e
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
6 ement. Les couleurs du bar me remplissaient d’une joie inconnue. Et je me refusais sans cesse aux questions qu’en moi-même p
7 ans l’autre, de douleurs en ivresses avec la même joie , mon cheval fou, mon beau Désir s’ébroue et part sitôt que je vais m’
8 t à me regarder bizarrement et j’étais possédé de joies et de peurs. Il fallut se lever, traverser le café dans la musique et
9 épris et de désespoir, ô vie sans faute, vie sans joie … Ah ! plus amère, plus amère encore, saurai-je un jour te désirer, te
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
10 vre… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse, voilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui.
5 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
11 ne infiniment nue dans la douceur du feu et de la joie . V Oh qui a retiré tes mains des miennes quand je te regardais tro