1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 nt est en réalité un nouveau tome de ses mémoires lyriques . Une œuvre d’une seule coulée, presque sans intrigue, sans cette orch
2 ant que d’être, Montherlant impose un tempérament lyrique d’une puissance contagieuse. Il y a là de quoi faire oublier des défa
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 lle déformation, et tout devient satisfaisant. Ce lyrique , ce mystique exige pour être compris une complicité de sentiments ou