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ris que le but du sport n’est pas la performance,
mais
le style et la méthode, c’est-à-dire la formation du caractère, en dé
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-à-dire la formation du caractère, en définitive.
Mais
on peut oublier la partie doctrinaire de cette œuvre, elle ne lui est
3
eté presque brutale parfois, un style de sportif,
mais
qu’on sent humaniste et poète, un style à la fois bref et chaud, imag
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n et l’autre. Ainsi mon art, entre terre et ciel.
Mais
sa foulée, bondissante et posée, est pleine du désir de l’air. Danse-
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e-t-il sur une musique que je n’entends pas ? » —
Mais
plus que le corps en mouvement, c’est la domination de la raison sur
6
uite des jeunes gens : celle-ci empêche les abus,
mais
celles-là forment l’esprit. » M. de Montherlant illustre sa propre pe
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a, de la morale sportive ou de la morale jésuite.
Mais
enfin, voici un homme, et non plus seulement un homme de lettres. Un
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ingt-cinq ans, à peu près à leur point de départ.
Mais
leurs recherches n’ont pas été vaines. Ils en reviennent chargés de c
9
que Dieu a mis à part par grâce pour qu’il serve.
Mais
très vite on étend l’appellation de saint à ceux qui par leur élévati
10
Honorons les saints pour l’exemple de leur vie :
mais
Christ est le seul médiateur à qui doit s’adresser le culte, en son c
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loin dans ses concessions à de telles critiques.
Mais
c’est pour affirmer avec d’autant plus de force que « en situant tout
12
nts, il existe des saints dans le protestantisme.
Mais
il n’est pas de fin aux œuvres de Dieu. La sainteté parfaite ne comme
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ister de saint véritable. Il n’y a pas de saints,
mais
il faut être parfait. Tel est l’enseignement de Jésus, telle est la p
14
nt lieu au printemps, et non plus à Sainte-Croix,
mais
à Aubonne. Un plein succès a répondu à cette innovation. Le sujet de
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ce miracle tout ce qu’il y a de plus protestant —
mais
oui, M. Journet — et je ne crois pas qu’il puisse se produire ailleur
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ande. C’est l’esprit de liberté, tout simplement.
Mais
précisons : c’est bien plus que la liberté de défendre sa petite héré
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lâché » pas mal de préjugés en matières sociales.
Mais
ce qui est peut-être plus important, on eut l’impression, durant les
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’empreinte imprévisible des choses. Amour de soi…
Mais
moi, qui suis-je ? Par ces trois mots commence le drame de toute vie.
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ommence le drame de toute vie. Ha ! Qui je suis ?
Mais
je le sens très bien ! je sens très bien cette force — ici, je tape d
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J’ai un passé à moi, un milieu, des amis, ce tic.
Mais
encore, tant d’autres forces et tant d’autres faiblesses, tant d’autr
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eul liait les personnages auxquels je me prêtais.
Mais
en même temps que je le découvrais, dans tout mon être une force aveu
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la mort. L’important, c’est de ne pas se défaire.
Mais
rien n’était résolu. Me voici devant quelques problèmes dont je sais
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il est absolument vain de prétendre les résoudre,
mais
que je dois feindre d’avoir résolus : c’est ce qui s’appelle vivre. P
24
’arrête parfois, heureux : « J’ai donc la foi ? »
Mais
c’est encore une question… Je crois qu’il ne faut pas attendre immobi
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ui se sent misérable. Je ne recevrai pas une foi,
mais
peut-être arriverai-je à la vouloir, et c’est le tout. S’il est une r
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ons suivant les directions de moindre résistance.
Mais
je ne m’emprisonnerai pas dans ces limites. Ma liberté est de les por
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’employer à sa sauvegarde ou à sa transformation.
Mais
il y faut une doctrine, me dit-on. L’avouerai-je, quand je médite sur
28
e sur fond de néant, je le comprends par éclairs,
mais
une secrète espérance m’emporte de nouveau, premier gage du divin… Re
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lèvres, et s’affirmer à mesure que je le décris.
Mais
comme un écho profond, une attirance aussi d’anciennes folies… Combat
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ut pas encore comprendre — tout est si fragile —,
mais
je sais quelle légèreté puissante, quelle confiance vont guider ce co
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vous belle, mon amie, — et vous, ma vie ? Certes,
mais
je vous aime moins que je ne vous désire. (Ce désir qui me rend fort
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ation de thèmes qui faisait la richesse du Songe,
mais
d’une ligne plus ferme, d’une unité plus pure aussi. Le sujet était p
33
ts auxquels Montherlant n’a pas toujours échappé,
mais
qu’il domine dans l’ensemble et entraîne dans l’allure puissante à la
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lant. Cette fois-ci, on le traite de naturaliste.
Mais
comment montrer des taureaux sans que cela sente un peu l’étable ? L’
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ime, et les victorieux sont d’immenses amants »6.
Mais
envers les taureaux cet amour tourne en adoration ou en une véritable
36
e obsédé par une idée de violence tonique certes,
mais
décidément un peu pauvre pour fonder une religion. Mais ce n’est peut
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écidément un peu pauvre pour fonder une religion.
Mais
ce n’est peut-être qu’un rêve de poète. Il y a un autre Montherlant,
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e pas. Il en parle, il le chante avec pathétique.
Mais
c’est parce qu’il est poète : le chant fini, il n’y pense plus. On co
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ipodes de ceux-là « qui cherchent en gémissant ».
Mais
cette personnalité dont il manifeste avec une magnifique insolence le
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ne maison blanche est arrêtée tout près de l’eau.
Mais
ce n’est pas d’elle que vient cette chanson jamais entendue qui nous
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, les roues peintes du char, l’Italie des poètes…
Mais
ce pays tout entier pâmé dans une beauté que saluent tant de souvenir
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ves une langueur dont on ne voudrait plus guérir…
Mais
nous voyons la ville debout dans ses lumières. Architectures ! langag
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au fond : les faits-divers, rien de moins divers.
Mais
je suis pris dans l’absurde réseau des lignes, et cette mécanique me
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de, un peu plus d’ennui. J’essayai donc de rêver.
Mais
cette rose oubliée me gênait : perdre une rose pour le plaisir ! (Et
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manger ; des jaquettes de couleur pour ma femme…
Mais
l’homme avait posé son journal. Soudain, portant la main à son gilet,
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de sa vie, brillantes ou misérables, passionnées.
Mais
bientôt : — « Destin, s’écria-t-il, tu pourrais me remercier. Vois qu
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celles de mes folies ? Je me répète : paradoxes,
mais
cela ne suffit plus à m’en délivrer. Ma vie m’a repris, je ne suis pa
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interdisant aux réformés d’exercer leur religion,
mais
en même temps de quitter le pays, Louis XIV commit un des actes les p
49
res sont hypocrites », écrit Madame de Maintenon.
Mais
bientôt l’on voit la France se dépeupler ; des industries sont presqu
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réatrices ? La question est peut-être prématurée.
Mais
le seul fait qu’elle se pose me paraît indiquer que l’un au moins des
51
t bien situés pour n’en prendre que le meilleur ;
mais
l’émulation, l’atmosphère de combat nécessaire au développement de ce
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bourgeoises dont je ne vais pas faire le procès,
mais
qui expliquent, me semble-t-il, pour une part, la dispersion des effo
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Blanchet que Barraud, plus Picasso que Matisse ;
mais
il y avait encore du flou, des courbes complaisantes. Meili est deven
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emises à neuf, l’imperfection humaine qui touche.
Mais
l’atmosphère pure de ces espaces définis par quelques plans ne tue pa
55
nous une inspiration neuve, d’origine germanique,
mais
qui a choisi de s’astreindre à la voluptueuse rigueur latine, et qui
56
s vitres, ce n’est pas seulement pour le plaisir,
mais
plutôt par amour du courant d’air. Cela dérange toujours quelques fri
57
nt d’air. Cela dérange toujours quelques frileux,
mais
les autres sont soulagés. Et ne fût-ce qu’en prenant une initiative c
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Meili : il ne prend pas le sujet par l’intérieur,
mais
il taille ce visage dans une pâte riche et un peu lourde, son pinceau
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ancolique et qui voient plus loin qu’on ne croit,
mais
il a toujours l’air de songer à la Hollande, sa seconde patrie si la
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n peu amer, d’une tristesse qui ne s’affiche pas,
mais
s’insinue dans toute sa palette, ce charme enfin, ce je ne sais quoi
61
vain chez beaucoup des meilleurs de nos artistes.
Mais
n’allez pas croire à des grâces faciles ou sentimentales. Il y a une
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ar ses défauts mêmes ou ses fausses négligences ;
mais
il faut pour comprendre cet art emprunter de singuliers chemins d’acc
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de ce pays pour qui la couleur existe avant tout.
Mais
la nostalgie de Bouvier l’entraîne à mille lieues des jardins de sour
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des disciples (Madeleine Woog, G. H. Dessoulavy)…
Mais
déjà paraissaient dans les Voix (cette courageuse revue qu’il avait f
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vant volontairement maigre se faisait trop lâche.
Mais
aujourd’hui la mue semble s’être opérée. Humbert est rendu à lui-même
66
» : le costume est drapé avec un soin minutieux,
mais
une grande mèche insolente retombe devant le visage. Aurèle tient un
67
e ouvert, et ce n’est pas je pense qu’il le lise,
mais
il aime caresser la reliure qu’il doit avoir faite lui-même. Car il e
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Charles, moins intensément réalistes, plus fins,
mais
tout aussi habiles dans l’utilisation du clair-obscur qui simplifie e
69
euses sur son compte. Il a fait de la pâtisserie,
mais
on m’assure qu’il se nourrit de noix et d’oranges. Il administre une
70
e boîte à miracles où sous un éclairage très net,
mais
inusité, l’objet le plus banal se charge de mystère. Que va-t-il se p
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pour le plaisir de la perfection exercée par jeu.
Mais
quel support à de nouvelles songeries ! Ces horlogeries impossibles s
72
e et que n’entravait pas son scrupule réaliste. ⁂
Mais
voici dans son costume d’aviateur, retour de Vienne, un sculpteur qui
73
s ses statues à un beau style dépouillé et hardi.
Mais
il y avait quelque lourdeur dans des morceaux comme le Joueur de rugb
74
nce aiguë. Notre revue n’est certes pas complète.
Mais
elle a du moins l’avantage de grouper des artistes qui, par le fait d
75
ut-être insuffisants pour caractériser une école,
mais
qui révèlent tout de même une orientation générale vers une sorte de
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valienne. Je vins à Vienne pour fuir l’Amérique.
Mais
les Viennois avaient fui dans les opérettes de Strauss, qu’on ne trou
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arce que cela vaudrait bien d’autres stupéfiants.
Mais
un tour de tourniquet anéantissait cette Vienne tout occupée à ressem
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éserte ne me proposait qu’une frileuse nostalgie.
Mais
qui fallait-il accuser de cette duperie, qui rendre responsable de ma
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ffmann : c’était le souvenir de Gérard de Nerval.
Mais
je pense que je n’avais même pas prononcé intérieurement ce nom lorsq
80
ez-vous que j’avais demandé au hasard d’arranger.
Mais
le thème de la Barcarolle s’empare de tout mon être — ainsi d’autres
81
un voisin pour lui demander je ne sais plus quoi.
Mais
sans doute évadé dans son rêve, beaucoup plus loin que moi, il n’ente
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uement mêlé à des forces inconnues et menaçantes.
Mais
la musique est si légère, la voix de la jeune fille si transparente :
83
e visage aimé pour d’autres plus beaux peut-être,
mais
inconnus. Voilà que la forme blanche, sous un brusque faisceau de lum
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comprenez certaines choses par votre souffrance…
Mais
le temps approche où vous n’aurez plus besoin de souffrir pour compre
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talisme capricieux d’ailleurs, dépourvu d’ironie,
mais
non pas de légèreté. C’est une sorte d’inconstance folâtre qui cache
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e chose que je comprends assez bien, ajouta-t-il,
mais
pour d’autres raisons qu’eux, probablement… À ce moment, comme nous t
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ne femme — au plus deux, en y réfléchissant bien,
mais
peut-être était-ce la même sous deux attributs différents. Toutes les
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ui pour d’autres paraissaient purement mystiques…
Mais
vous savez, « les autres » n’y comprennent jamais rien, dès qu’on aim
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e ! elle n’était qu’un regard, un certain regard,
mais
j’ai su en retrouver la sensation jusque dans les choses — et c’est c
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et c’est cela seul qui donna un sens au monde. —
Mais
je bavarde, je philosophe, et vous allez me dire que c’est trop facil
91
nse. Je la nomme Clarissa, parce que cela lui va.
Mais
comme c’est odieux qu’une créature aussi parfaite soit touchée par le
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rait qu’avec un sentiment religieux de la beauté.
Mais
je crois que l’Orient est devenu fou. Il ne comprend plus rien. » Des
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l’ombre, dit Gérard d’un ton rêveur et malicieux.
Mais
l’ombre de cette ville illusoire est la plus douce à mes vagabondages
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s, — ce serait la gravité énigmatique d’Adrienne,
mais
dans le lointain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des visages
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s, il n’y eut plus personne, la place s’éteignit.
Mais
Gérard ? Ses yeux s’étaient fixés intensément, à la sortie des invité
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connus la voiture de la femme aux bandeaux noirs.
Mais
les rideaux étaient baissés. Déjà on criait les journaux du matin, de
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Il préfère s’intéresser aux divers types humains.
Mais
on lui sait peu de grés de sa curiosité. Sans doute est-il trop impat
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u’il est. C’est une autre manie de sa génération.
Mais
là encore il se singularise : il n’écrit pas de livre pour y pourchas
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être définie par l’abondance des autobiographies,
mais
aussi bien par celle des miroirs. C’est pourquoi il en installe un su
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n pitié. Ces séances lui font du mal, l’énervent,
mais
l’aveu qu’il en consent l’attache plus secrètement à son aventure. N
101
. Il veut se voir tel qu’il est parmi les autres.
Mais
s’il lui arrive de prendre son image pour celle de n’importe quel pas
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même qui pourrait lui rendre la certitude d’être.
Mais
il s’épuise dans une perspective de reflets qui vont en diminuant ver
103
premier filet d’eau vive qui perce le sol aride :
mais
Stéphane n’entend pas encore gronder les eaux profondes. Le désir de
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ésir de s’hypnotiser l’irrite toujours vaguement.
Mais
il fuit son propre regard, il se cherche dans d’autres yeux, c’est po
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ce qui serait lui. Déjà il se perd dans ces yeux,
mais
comme on meurt dans une naissance. Stéphane naît à l’amour et à lui-m
106
: « Je ne sais pas : je suis !… Je ne sais plus…
mais
je suis ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de grand soleil sur tou
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ait cadeau d’un piano dont il a coupé les cordes,
mais
pas toutes, en sorte que plusieurs touches sonnent encore, et c’est l
108
i voulu attirer là-dessus l’attention du médecin,
mais
il est plus difficile de se faire comprendre par un sot que par un fo
109
it la Pentecôte. La fête de la plus haute poésie.
Mais
dans ce siècle, où tant de voix l’appellent, combien sont dignes de s
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bien envoie — un héros — Ou bien — la sagesse. »
Mais
le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment
111
»… Vivait-il encore ? Ce lieu soudain m’angoisse.
Mais
le gardien : il y est comme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit ? — O
112
uvre le ciel, qu’il est bon qu’il y ait le monde…
Mais
que cette musique vulgaire, par quel hasard, donne l’accord qui m’ouv
113
ieux perdus. II Je ne sais pas où tu m’entends
mais
ces hauts murs d’ombre et de vent autour du monde où nous vivons parq
114
un corps faible. Je ne sais pas où tu m’attends
mais
je sais comment tu pleurais. Au carrefour des cris perdus j’écoute en
115
s l’aube sans refuges… VI Prisonnier de la nuit
mais
plus libre qu’un ange prisonnier dans ta tête mais libre comme avant
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ais plus libre qu’un ange prisonnier dans ta tête
mais
libre comme avant cette naissance aux lents vertiges — quand la nuit
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de l’absence se ferment sur le vide tu pleurerais
mais
la grâce est facile comme un matin d’été la grâce tendrement dénouée
118
us rassurer sur la valeur littéraire de l’époque,
mais
non sur le sort de l’esprit. À côté d’eux, s’écrient nos auteurs, « q
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le… » — Exigence et reproche également démesurés,
mais
combien sympathiques, à l’heure où tout le monde exagère, à qui mieux
120
ns sur les lettres parisiennes un regard distrait
mais
circulaire, comme dirait Aragon — et je suppose que Beausire et Simon
121
sel pour rendre mangeables beaucoup de nouilles.
Mais
si le sel perd sa saveur, serait-ce avec des pamphlets qu’on la lui r
122
e. Il y a bien quelques outrances dans tout ceci.
Mais
je voudrais que s’en offusquent ceux-là seuls que l’outrancière habil
123
ux et surtout spirituels d’une portée planétaire,
mais
ils trouvent d’excellentes raisons pour ne point se laisser troubler.
124
me catholique. Servir leur paraît ridicule. Soit,
mais
il faudrait donner une œuvre. Il faudrait créer, si rien n’existe qui
125
er, si rien n’existe qui vaille qu’on s’y dévoue.
Mais
quoi ! cela peut vous mener à crever de faim, ce qui ne se porte plus
126
n péril le budget mensuel. Ô sens de la mesure ! (
Mais
où les audaces souveraines d’un Racine, d’un Descartes ?) D’ailleurs,
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ancer la vie de ces excessifs est assez bien vu ;
mais
tenter de leur opposer un effort digne de ce qu’ils furent… Cela dema
128
ision. Jules César s’imposait de longues marches.
Mais
ne demandons pas à Barrès de quitter sa chambre, son cigare ou son mo
129
outable que Robespierre ». Bien. Ah ! très bien !
Mais
qu’ensuite on fasse appel à Valéry ou au Surhomme, jamais absent d’ic
130
…, un ordre de valeurs, si arbitraire qu’il soit,
mais
volontairement, assumé ». N’est-ce point oublier que l’existence du C
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l’adoption d’un ordre de valeurs « arbitraire »,
mais
obligent l’homme à « assumer » d’autant plus héroïquement sa vérité —
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zsche, et quelque chose par-dessus, tout de même…
Mais
ceci, comme dit Kipling, est une autre histoire. 10. Nous voici parv
133
irer que nous atteindrons une réalité supérieure,
mais
bien en surpassant nos sens par notre intelligence, celle-ci à son to
134
x fantômes, et les plus réels, ce sont les anges.
Mais
ceux-là seuls parmi nous les verront, dont l’esprit parviendra par sa
135
plus de réduire les fantômes qui nous tenteront,
mais
de leur égaler notre conscience. C’est un effort de création — car to
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effort sous le signe de la sobriété la plus rusée
mais
la plus amoureuse. L’audace et l’humilité de la prière nous font ente