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llégresse héroïque qu’infuse à son corps la douce
matière
. L’air et le sol, dieux rivaux, se le disputent, et il oscille entre
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rs qui ont ainsi « lâché » pas mal de préjugés en
matières
sociales. Mais ce qui est peut-être plus important, on eut l’impressi
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les erreurs de sa jeunesse. Le roi, « un niais en
matière
religieuse » au dire de sa belle-sœur, la princesse palatine, se lais
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de l’Évêché. Décors et personnages semblent d’une
matière
idéale. Tout est lisse et parfait. Trop parfait seulement. Il manque
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rmes, il y a une belle richesse de lueurs sur une
matière
traitée largement et d’une abondance très sûrement ordonnée. Je crois