1
’étudiants et de professeurs suisses et français.
Miracle
qui nous fit croire un instant à la fameuse devise de la Révolution.
2
permît à « l’atmosphère » de s’établir. Alors le
miracle
apparut, grandit. Le miracle, c’est l’esprit d’Aubonne. C’est ce mira
3
s’établir. Alors le miracle apparut, grandit. Le
miracle
, c’est l’esprit d’Aubonne. C’est ce miracle tout ce qu’il y a de plus
4
t. Le miracle, c’est l’esprit d’Aubonne. C’est ce
miracle
tout ce qu’il y a de plus protestant — mais oui, M. Journet — et je n
5
e palais de glaces en miniature, sorte de boîte à
miracles
où sous un éclairage très net, mais inusité, l’objet le plus banal se
6
ent sa raison, l’empêchent de protester contre le
miracle
. Parmi tous ses mots fous, noms, baisers, appels qui reçoivent en mêm
7
x visiteurs venus pour contempler la victime d’un
miracle
. — C’était l’époque des amateurs de ruines. Je suis descendu au bord