1 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
1 Miroirs , ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)n « Rem
2 es autobiographies, mais aussi bien par celle des miroirs . C’est pourquoi il en installe un sur sa table de travail, de façon à
3 e méditer : la personne se dissout dans l’eau des miroirs . Stéphane est en train de se perdre pour avoir voulu se constater. V
4 ance envers les dieux. À chaque regard dans notre miroir , nous perdons une Eurydice. Les miroirs sont peut-être la mort. La mo
5 dans notre miroir, nous perdons une Eurydice. Les miroirs sont peut-être la mort. La mort absolue, celle qui n’est pas une vie
6 pense avec fièvre : « Il faudrait briser tous les miroirs . Alors tu te verrais en vérité. Peut-être te reconnaîtrais-tu sous un
7 a santé écrivait : « Ton visage me cache tous les miroirs  » — à une femme qu’il aimait. n. Rougemont Denis de, « Miroirs, ou
8 e femme qu’il aimait. n. Rougemont Denis de, «  Miroirs , ou Comment on perd Eurydice et soi-même », Cahiers de l’Anglore, Gen
2 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
9 e, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indulgentes à leur banalité ? Est-ce q