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’ombre des épées. Rien de moins artificiellement
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que ce lyrisme sobre et prenant : « Si l’on s’échauffe, s’échauffer s
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de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture
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» (30 octobre 1924)b Lundi soir, dans la salle du Lyceum, M. Conra
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ili a mis en évidence cette courbe de la peinture
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avec une netteté et un relief remarquable. Les œuvres de cet artiste,
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les exigences de l’Évangile en face de la pensée
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, et fut impressionnant de vigueur dialectique et de largeur d’idées.
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tion. M. Cadier montra le conflit de la théologie
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avec l’action religieuse en s’appuyant sur des expériences faites pen
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particulièrement à retrouver ces limites : la vie
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, mécanique, nous les fait oublier, d’où cette fatigue générale qui fa
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, en effet, n’ignorent rien des courants les plus
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, et sont bien situés pour n’en prendre que le meilleur ; mais l’émula
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rientation générale vers une sorte de classicisme
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dont les frères Barraud ne seraient pas très éloignés par d’autres cô
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la rigueur, pouvait passer pour une élégance très
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. Il n’y avait dans toute sa personne rien de positivement démodé ; je
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moins, moi. Pour vous, c’est différent, vous êtes
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, vous vous contentez peut-être de cette pêche miraculeuse — c’est une
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sortir de soi pour se voir ? Il y a dans l’homme
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un besoin de vérifier qui n’est plus légitime dès l’instant qu’il se
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évidente des fantômes décrits par la psychologie
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révèle-t-elle une déficience de méthode, laquelle correspond à une ce
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mental d’une éthique des fantômes, dont la poésie
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n’est peut-être que la psychologie. s. Rougemont Denis de, « [Répo