1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 ent dans une buée sans couleurs, nous quittons un mystère à jamais impénétrable pour l’homme, nous fuyons ces bords où conspire
2 u’à vous plaire. Chaque ruelle croisée propose un mystère qu’on oublie pour celui des regards étrangers. Et voici la place régu
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 définis par quelques plans ne tue pas un certain mystère . Cette cour sans issue, cette tulipe bizarre, cette tête prisonnière
4 mais inusité, l’objet le plus banal se charge de mystère . Que va-t-il se passer là-dedans ? Et ces roses sont le signe de quel
3 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
5 e cette apparence, qu’il doute de sa réalité. Le mystère de voir ses yeux l’épouvante. Il y cherche une révélation et n’y trou
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
6 l’image d’une femme par le nom qu’elle portait au mystère de l’amour… Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pip