1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 cultiver pour cela seul qu’ils sont naturels : la nature est un champ de luttes, de tendances vers la destruction et vers la c
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 erdus dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature … L’homme chante une plainte inouïe de pureté. Deux phrases rapides on
3 is. Nous fûmes si près de choir dans ton silence. Nature  ! qui nous enivrait, promettant à nos sens, fatigués de l’esprit qui
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 a de cela cinq ou six ans. Il peignait alors des natures mortes, de petits paysages, il dessinait des nus aux crayons de fard.
5 t seulement. Il manque à ces recompositions de la nature , à ces natures remises à neuf, l’imperfection humaine qui touche. Mai
6 l manque à ces recompositions de la nature, à ces natures remises à neuf, l’imperfection humaine qui touche. Mais l’atmosphère
7 cole du gris-noir neurasthénique. Il peignait des natures mortes qui décidément l’étaient, à faire froid dans le dos ; ou bien
8 us pensiez n’être qu’une épure : c’est intitulé «  nature morte ». Pourquoi pas naissance d’un songe ? C’est en effet un rêve d
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 demande un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des gens fatigués. — Pour moi, dit Gérard, je situe
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
10 t donne à « l’humaine liberté » des limites d’une nature que Léonard ne soupçonna même pas ; — que ces limites rendent absurde