1 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
1 e volley-ball ? Le Casino offrit pendant quelques nuits la vision étrange d’une salle où les spectateurs étendus en pyjamas s
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 onscience. Joie, dégoût, lueurs éteintes dans une nuit froide. Les notes d’un chant qui voudrait s’élever. Puis enfin la mar
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
3 pe dans la maison blanche nous a révélé proche la nuit . Nous nous sommes retournés vers la ville. Fleurs de lumières sur le
4 unes et roses près de l’eau, puis perdent dans la nuit leurs lignes graves. Toutes ces formes devinées dans l’espace nous en
5 gé dans un système d’ondes de forces qui tisse la nuit vibrante, intérêts, politesses, politiques, regards, musiques — cette
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
6 me sentis perdre pied délicieusement. Et de cette nuit peut-être, je ne saurai jamais rien… (sinon qu’au lendemain je n’avai
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
7 eur, le homard avait rougi : il conserva toute la nuit une magnifique couleur orangée. Gérard semblait habitué à ces sortes
8 es à la mesure de votre générosité. Vos boîtes de nuit sont des sortes de distributeurs automatiques de plaisir. Autant dire
9 t. Vous savez, je lance mes filets dans l’eau des nuits , et quelquefois j’en ramène des animaux aux yeux bizarres où je sais
10 dormir. » Se penchant vers moi il prononça : « La nuit sera noire et blanche. » Je ressentis quelque émotion à l’ouïe de cet
11 d’ombre flatteuse aux caprices redoutables. Cette nuit -là nous rencontrâmes des anges au coin des ruelles, des oiseaux nous
12 . Seules des trompes d’autos s’appelaient dans la nuit froide. Gérard ne disait presque plus rien ; à peine, de temps en tem
13 la. Gérard m’expliqua qu’il en était ainsi chaque nuit , que l’animal devenait nerveux et que depuis quelques semaines, il av
6 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
14 n diminuant vertigineusement et l’égarent dans sa nuit . Je saute quelques délires et pas mal de superstitions. Enfin cette e
7 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
15 aune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La perfection n’a pas de pla
8 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
16 Le prisonnier de la nuit (avril 1930)p I Depuis le temps qu’on tire du canon à son perdu d
17 r dans l’aube sans refuges… VI Prisonnier de la nuit mais plus libre qu’un ange prisonnier dans ta tête mais libre comme a
18 ant cette naissance aux lents vertiges — quand la nuit s’effeuille et se fane prisonnier d’une saison morte au tombeau des f
19 grâce tendrement dénouée de ta vie comme de cette nuit le jour d’un grand été qui consent… p. Rougemont Denis de, « Le p
20 p. Rougemont Denis de, « Le prisonnier de la nuit  », Cahiers de l’Anglore, Genève, avril 1930, p. 10-12.