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un malaise montait dans l’air plus frais, avec l’
odeur
du limon. Nous marchions vers ces hauts arbres clairs, au tournant du
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les dissonances mélancoliques des lumières et des
odeurs
, espérant entrer là-bas dans je ne sais quelle harmonie plus reposant
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e triste volupté emplit notre monde à ce chant. L’
odeur
du fleuve est son parfum, le soleil rouge sa douleur. Les bœufs blanc
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sque plus de sens, comme le fleuve. Elle n’est qu’
odeurs
, formes mouvantes, remous dans l’air et musiques sourdes. Penser sera
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se défaire et couler sans fin vers un sommeil à l’
odeur
fade de fleuve, un sommeil de plante vaguement heureuse d’être pliée