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hement est peut-être prématuré, tout au plus peut-
on
dire qu’à l’heure présente déjà, son œuvre, comme celle de Barrès, no
2
nné le coup de grâce à cet esthétisme énervant qu’
on
appelle symbolisme ; et elle a donné naissance à la doctrine de M. de
3
de l’esprit catholique et de l’esprit sportif. «
On
se fait son unité comme on peut », avoue-t-il franchement. Il me semb
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de l’esprit sportif. « On se fait son unité comme
on
peut », avoue-t-il franchement. Il me semble bien paradoxal de vouloi
5
re la formation du caractère, en définitive. Mais
on
peut oublier la partie doctrinaire de cette œuvre, elle ne lui est pa
6
lent ce que valent toutes les simplifications, qu’
on
les appelle ou non idées générales, et j’avoue bien volontiers qu’il
7
que brutale parfois, un style de sportif, mais qu’
on
sent humaniste et poète, un style à la fois bref et chaud, imagé et r
8
tte domination qui est le but véritable du sport.
On
accepte une règle ; on l’assimile, à tel point qu’elle n’est plus une
9
le but véritable du sport. On accepte une règle ;
on
l’assimile, à tel point qu’elle n’est plus une entrave à la violence
10
ue de la prairie rase où rebondit un ballon. Si l’
on
considère la vie sociale comme un jeu sérieux dont on respecte les rè
11
onsidère la vie sociale comme un jeu sérieux dont
on
respecte les règles, non plus comme une lutte sauvage et déloyale, la
12
hies que sur celui de la solidarité, comme bien l’
on
pense). Enfin, enseignement plus général de la morale sportive : « la
13
x qui sont à lui. Il dit : « Je ne demande pas qu’
on
m’aime. Je demande qu’on me soit dévoué. » Ils disent : « Tu es notre
14
: « Je ne demande pas qu’on m’aime. Je demande qu’
on
me soit dévoué. » Ils disent : « Tu es notre capitaine. » Ces choses
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moderne que ce lyrisme sobre et prenant : « Si l’
on
s’échauffe, s’échauffer sur de la précision. » On évitera ainsi tout
16
on s’échauffe, s’échauffer sur de la précision. »
On
évitera ainsi tout niais romantisme. Je sais bien ce qu’on objectera
17
a ainsi tout niais romantisme. Je sais bien ce qu’
on
objectera : le sport ainsi compris, plus que l’apprentissage de la vi
18
la vie, est l’apprentissage de la guerre, dira-t-
on
. M. de Montherlant répondra : non, car la faiblesse est le péché capi
19
te « éthique du sport » tempérée de raison. Ce qu’
on
en peut retenir, c’est la méthode, car je crois qu’elle sert mieux la
20
ra plus besoin de roman catholique. » C’est ce qu’
on
pourrait appeler une « morale constructive » : porter l’effort sur ce
21
relief remarquable. Les œuvres de cet artiste, qu’
on
a pu voir à la Rose d’Or témoignaient de ces mêmes qualités : car la
22
à part par grâce pour qu’il serve. Mais très vite
on
étend l’appellation de saint à ceux qui par leur élévation morale ou
23
en Âge l’évolution se continue dans le même sens.
On
spécialise les « compétences » des saints, ou de leurs reliques qui s
24
nce de M. Jean Cadier, un jeune pasteur français,
on
descendit — ou l’on monta suivant M. A. Léo — du domaine de la pensée
25
r, un jeune pasteur français, on descendit — ou l’
on
monta suivant M. A. Léo — du domaine de la pensée pure dans celui de
26
les Romands recouvrent l’usage de la parole, puis
on
va se dégourdir sur un ballon ou bien l’on poursuit hors du village u
27
, puis on va se dégourdir sur un ballon ou bien l’
on
poursuit hors du village une discussion toujours trop courte. Et les
28
t tout le monde dans la gaieté la plus charmante.
On
y vit un ouvrier en maillot rouge assis entre un banquier et un philo
29
26)f Cette conférence s’ouvrit par une bise qu’
on
peut bien dire du diable et se termina sous le plus beau soleil de pr
30
printemps. Libre à qui veut d’y voir un symbole.
On
ne saurait exagérer l’importance des conditions météorologiques du su
31
la liberté dans la recherche. Chose plus rare qu’
on
ne pense, à Aubonne on se sent prêt à tout lâcher pour une vérité nou
32
herche. Chose plus rare qu’on ne pense, à Aubonne
on
se sent prêt à tout lâcher pour une vérité nouvelle, on tient moins à
33
sent prêt à tout lâcher pour une vérité nouvelle,
on
tient moins à convaincre qu’à se convaincre. Après les exposés de Jan
34
ciales. Mais ce qui est peut-être plus important,
on
eut l’impression, durant les discussions entre de Saussure et Bertran
35
pelle où ont lieu travaux et méditations. Dehors,
on
honore la liberté d’un culte moins platonique : n’est-ce pas Léo qui
36
ns platonique : n’est-ce pas Léo qui prétendit qu’
on
ne peut juger les Associations qu’à leur façon de jouer le volley-bal
37
r une pièce inexistante. Enfin le dernier soir, l’
on
vit apparaître un fakir… Il y eut aussi une assemblée délibérative en
38
chardot, entrant par la fenêtre, vint annoncer qu’
on
était libre — comme si on l’avait attendu pour le manifester ! — et q
39
nêtre, vint annoncer qu’on était libre — comme si
on
l’avait attendu pour le manifester ! — et qu’il suffisait de souscrir
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les plus rusés. Nous choisissons les idées comme
on
choisit un amour dont on est anxieux de prévoir l’influence, avant de
41
isissons les idées comme on choisit un amour dont
on
est anxieux de prévoir l’influence, avant de s’y jeter, et dont on cr
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prévoir l’influence, avant de s’y jeter, et dont
on
craint de ressortir trop différent. Amour de soi, qui nous tourmente
43
is abandonné au jeu du hasard, jusqu’au jour où l’
on
me fit comprendre qu’il n’est que le jeu de sauter follement d’une ha
44
? Provisoirement j’étais sauvé d’un désordre où l’
on
glisse vers la mort. L’important, c’est de ne pas se défaire. Mais ri
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stupide sur mon état qui peut m’être dangereuse. (
On
donne corps à une faiblesse en la nommant ; or je ne veux plus de fai
46
ansformation. Mais il y faut une doctrine, me dit-
on
. L’avouerai-je, quand je médite sur une doctrine possible, sur une sy
47
e. Je m’étonne qu’après tant d’expériences ratées
on
puisse encore se persuader de la vérité d’un système, hors la religio
48
se lèvent. Car telle est la vertu de ce livre, qu’
on
l’éprouve d’abord trop vivement pour le juger. L’auteur l’appelle un
49
e puissante à la fois et désinvolte de son récit.
On
a souvent parlé d’excès de lyrisme à propos des premiers ouvrages de
50
premiers ouvrages de Montherlant. Cette fois-ci,
on
le traite de naturaliste. Mais comment montrer des taureaux sans que
51
l sait ce qu’elle va faire, il peut la dominer… :
on
ne vainc vraiment que ce qu’on aime, et les victorieux sont d’immense
52
peut la dominer… : on ne vainc vraiment que ce qu’
on
aime, et les victorieux sont d’immenses amants »6. Mais envers les ta
53
ainsi tout bas, sur un ton révérenciel, et comme
on
déroule une litanie. Sous les grands cils brillants, lustrés par la l
54
Quelques secondes encore elle cligna des yeux et
on
vit sa respiration. Puis ses pattes se tendirent peu à peu, comme un
55
pattes se tendirent peu à peu, comme un corps qu’
on
gonflerait à la pompe, tandis que dans cet agrandissement les articul
56
grinçaient, avec le bruit d’un câble de navire qu’
on
serre sur un treuil. Elle arriva avec emphase à la cime de son spasme
57
ts superstitieux, de grands symboles païens, et l’
on
se perd dans un syncrétisme effarant, où Mithra, Jésus, les taureaux
58
dans une sorte de cauchemar de soleil et de sang.
On
peut penser ce qu’on veut de ce paganisme exalté, tout ivre de la fum
59
chemar de soleil et de sang. On peut penser ce qu’
on
veut de ce paganisme exalté, tout ivre de la fumée des sacrifices san
60
’il est poète : le chant fini, il n’y pense plus.
On
comprend qu’une telle attitude agace des gens qui se soucient avant t
61
s charmés d’un repos sans rêves une langueur dont
on
ne voudrait plus guérir… Mais nous voyons la ville debout dans ses lu
62
aire. Chaque ruelle croisée propose un mystère qu’
on
oublie pour celui des regards étrangers. Et voici la place régulière,
63
Dés ou la clef des champs (1927)l «
On
sent l’absurdité d’un semblable système. » Musset. Une rose et un j
64
courant. Pour dix sous et le prétexte d’un apéro,
on
entre ici dans le jardin des songeries les plus étranges qu’appelle l
65
le journal et se mit à lire les pages d’annonces.
On
m’apporta une liqueur. Et quand j’eus fini de boire, mes pensées plus
66
a fait allusion aux divers points de vue auxquels
on
a pu se placer pour juger la révocation. M. Esmonin, lui, se place au
67
ystème préconçu. (Cette attitude est plus rare qu’
on
ne le croit, de nos jours.) M. Esmonin montra avec beaucoup de clarté
68
la guerre de Trente Ans, l’orateur expose comment
on
en vint à la révocation. C’est d’abord l’influence du clergé, jaloux
69
n du nombre des protestants. Aussi ne s’effraye-t-
on
pas trop, au début, de l’émigration des fidèles qui suivent leurs pas
70
des fidèles qui suivent leurs pasteurs proscrits.
On
espère bien convertir de gré ou de force tous ceux qui resteront « Le
71
ites », écrit Madame de Maintenon. Mais bientôt l’
on
voit la France se dépeupler ; des industries sont presque anéanties ;
72
peintre se trouve placé d’emblée en face de ce qu’
on
nomme le gros public. L’épreuve est pénible, énervante, souvent fatal
73
d’une consécration étrangère. Un jour en effet l’
on
apprend que tel tableau de jeune est « coté » chez un gros marchand.
74
fortune faite, tout le monde s’accorde à dire qu’
on
n’attendait pas moins du fils d’un tel père. « Voilà le train du mond
75
ic, et moins d’incompréhension que de timidité. ⁂
On
ne m’en voudra pas de ne citer ni dates de naissance, ni traits d’enf
76
arin, près Neuchâtel, dans cette petite maison qu’
on
reconnaissait entre trente pareilles, aux cactus qui ornaient les fen
77
ique un peu bizarre qu’il glisse si souvent là où
on
l’attend le moins. Conrad Meili apporte chez nous une inspiration neu
78
teur russe, à cause de sa chevelure, sans doute !
On
ne pourrait pas se tromper plus. ⁂ À vrai dire j’en vois peu parmi le
79
ne ironie mélancolique et qui voient plus loin qu’
on
ne croit, mais il a toujours l’air de songer à la Hollande, sa second
80
a palette, ce charme enfin, ce je ne sais quoi qu’
on
cherche en vain chez beaucoup des meilleurs de nos artistes. Mais n’a
81
jours une sorte de dissonance, un défaut par où l’
on
va peut-être se glisser dans l’atmosphère de l’œuvre ; que l’on conse
82
e se glisser dans l’atmosphère de l’œuvre ; que l’
on
consente en effet à telle déformation, et tout devient satisfaisant.
83
guère que Louis de Meuron, parmi ses aînés, dont
on
le puisse rapprocher, parce qu’il est un des rares peintres de ce pay
84
e. Comme peintre religieux, il se cherche encore.
On
a pourtant l’impression, à voir ses dernières toiles, d’une plus gran
85
point de reparaître… Charles Humbert ou comment
on
passe en cinq ans de Baudelaire à Rubens. Il fut un temps où l’on put
86
ans de Baudelaire à Rubens. Il fut un temps où l’
on
put craindre que Charles Humbert ne devînt le chef d’une école du gri
87
antaisie, un mélange de Rops et d’Ensor ; pensait-
on
… Déjà il avait des disciples (Madeleine Woog, G. H. Dessoulavy)… Mais
88
une abondance très sûrement ordonnée. Je crois qu’
on
doit beaucoup attendre de ce tempérament qui fait jaillir en lui sans
89
même route que nous ? À la bonne heure ! ». Et l’
on
repart bras dessus, bras dessous. Et l’on apprend peu à peu des chose
90
». Et l’on repart bras dessus, bras dessous. Et l’
on
apprend peu à peu des choses bien curieuses sur son compte. Il a fait
91
sur son compte. Il a fait de la pâtisserie, mais
on
m’assure qu’il se nourrit de noix et d’oranges. Il administre une feu
92
sibles sont des pièges à chimères. C’est ainsi qu’
on
fait une découverte. Attention qu’André Evard n’aille trouver une de
93
s’imposer. Léon Perrin a compris tout le parti qu’
on
pouvait tirer des principes cubistes dans un art dont la genèse même
94
té non dépourvue de puissance. Une fois de plus l’
on
peut admirer la salutaire leçon de style donnée par le cubisme aux ar
95
té d’une jeune peinture originale dans un pays qu’
on
s’est trop souvent plu à dire si âpre, prosaïque et d’une maigre végé
96
et d’une maigre végétation artistique. Pays où l’
on
préfère la netteté utile à l’harmonie des lignes ; où la lumière écla
97
ois avaient fui dans les opérettes de Strauss, qu’
on
ne trouve plus nulle part. Dans les dancings, un peuple de fêtards mo
98
essayer de se prendre encore au rêve de valse qu’
on
était venu chercher parce que cela vaudrait bien d’autres stupéfiants
99
ette Vienne tout occupée à ressembler à l’idée qu’
on
s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée autour d
100
ade où il y avait juste assez de passants pour qu’
on
la sentît déserte ne me proposait qu’une frileuse nostalgie. Mais qui
101
d’âme crée une situation qui l’exprime — bien qu’
on
pense généralement le contraire. Il est très vrai que les notions réa
102
ne sorte de compromis sentimental, à l’Opéra où l’
on
donnait les Contes d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien qui u
103
ouver à côté d’une place vide : la jolie femme qu’
on
attend dans ces circonstances, une fois de plus manquait le rendez-vo
104
urations, — l’heure anxieuse et mélancolique où l’
on
quitte ce visage aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais inconn
105
. Gérard semblait habitué à ces sortes de scènes.
On
reparla de l’inconstance viennoise. Gérard l’attribuait à une certain
106
les autres » n’y comprennent jamais rien, dès qu’
on
aime… Oh ! cette femme ! elle n’était qu’un regard, un certain regard
107
aculeuse — c’est une façon de parler — à laquelle
on
se livre dans ces lieux de plaisir — autre façon de parler. On dit qu
108
ans ces lieux de plaisir — autre façon de parler.
On
dit que j’ai vécu d’illusions, avouez que les miennes étaient de meil
109
: car c’est une pauvre illusion que le plaisir qu’
on
vient chercher ici avec le premier être venu. — Certes, je comprends
110
s de ces courtiers alourdis de “Knödl”. En Orient
on
en ferait une chose extrêmement précieuse, qu’on n’approcherait qu’av
111
on en ferait une chose extrêmement précieuse, qu’
on
n’approcherait qu’avec un sentiment religieux de la beauté. Mais je c
112
en croquant une de ces saucisses à la moutarde qu’
on
appelle ici « Frankfurter » et ailleurs « Wienerli ». Soudain les aut
113
aux noirs. Mais les rideaux étaient baissés. Déjà
on
criait les journaux du matin, des triporteurs passèrent à toute vites
114
Miroirs, ou Comment
on
perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)n « Remonte aux vrais
115
éfère s’intéresser aux divers types humains. Mais
on
lui sait peu de grés de sa curiosité. Sans doute est-il trop impatien
116
x êtres plus qu’ils ne peuvent donner… D’ailleurs
on
ne lui doit rien, n’est-ce pas ? Il en tombe d’accord ; accepte d’att
117
le monde lui donne, en son temps, sa petite part.
On
lui a expliqué qu’il fallait la mériter et tâcher de devenir quelqu’u
118
tâcher de devenir quelqu’un. En d’autres termes,
on
lui conseille de rentrer en lui-même. « Il se ramène en soi, n’ayant
119
dans un décor flamboyant de glaces. À chaque pas,
on
offre à Stéphane sa tête, son portrait en pied. Il se voit dans l’act
120
et n’y trouve que le désir d’une révélation. Peut-
on
s’hypnotiser avec son propre regard ? Il n’y a plus que cette incanta
121
ir voulu se constater. Va-t-il découvrir aussi qu’
on
ne comprend que ce qu’on dépasse ? Et qu’il faut sortir de soi pour s
122
-t-il découvrir aussi qu’on ne comprend que ce qu’
on
dépasse ? Et qu’il faut sortir de soi pour se voir ? Il y a dans l’h
123
it lui. Déjà il se perd dans ces yeux, mais comme
on
meurt dans une naissance. Stéphane naît à l’amour et à lui-même conjo
124
. n. Rougemont Denis de, « Miroirs, ou Comment
on
perd Eurydice et soi-même », Cahiers de l’Anglore, Genève, décembre 1
125
-être que le lieu de sa poésie, — d’une poésie, l’
on
dirait, qui ne connaît pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il r
126
ant loin d’elle (dans la région de Bordeaux croit-
on
), est frappé d’insolation ; sa folie d’un coup l’envahit. C’est une s
127
ssant médaillon de marbre) — Ça, c’est Diotima. »
On
rougirait à moins. — « Je ne puis pas parler de lui, ici à Francfort,
128
ici à Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’
on
se met à raconter les choses les plus affreuses sur son compte, simpl
129
eulement vouloir se marier… » — Et puis plus tard
on
encadre les lettres des amants, on propose le couple à l’admiration d
130
puis plus tard on encadre les lettres des amants,
on
propose le couple à l’admiration des écoliers en promenade, et le gui
131
préféré faire tout de suite la bête : comme cela
on
est mieux pour donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Betti
132
de la nuit (avril 1930)p I Depuis le temps qu’
on
tire du canon à son perdu depuis le temps que sonnent les marées à fl
133
esprit. À côté d’eux, s’écrient nos auteurs, « qu’
on
nous montre un seul Français qui n’ait pas le cœur sur les lèvres, qu
134
ncours ce problème, d’ailleurs insoluble : « Peut-
on
discerner avec certitude, après lecture de ses œuvres, si M. Brunschw
135
rivain ; alors qu’il est plutôt ce qu’autrefois l’
on
nommait joliment un fin lettré. (Vraiment le jeu est trop facile. All
136
nc vous mettre en colère contre l’insignifiance !
On
ne nous laisse même plus la colère. Ah ! nous ne risquons pas d’être
137
sent Simond et ce grand potache de Maldoror. « Qu’
on
nous montre un homme… » Un ou deux. Il suffit de très peu de sel pour
138
l perd sa saveur, serait-ce avec des pamphlets qu’
on
la lui rend ? Je le trouve en tout cas bien tonique, celui que Beausi
139
ller un maçon. Le maçon creusait et défonçait, or
on
lui avait commandé une maison. Nos trois compères se moquaient fort.
140
s se moquaient fort. Le journaliste expliquait qu’
on
eut dû commencer par l’échafaudage. Le libéral déplorait que l’on déf
141
cer par l’échafaudage. Le libéral déplorait que l’
on
défonçât le sol. Le jeanfoutre trouvait qu’il y a déjà tant de maison
142
es murs s’élevèrent, et quand tout fut terminé, l’
on
interdit l’entrée du palais à nos trois amis (qui pourtant n’eussent
143
volonté supérieure de domination et de puissance…
On
ne se pose plus, en France, de questions qui dépassent un certain pla
144
dépassent un certain plan. C’est mal vu. » Ou si
on
les pose, ajouterai-je, c’est pour les résoudre aussitôt et d’une man
145
las ! une logique verbale et le clair génie que l’
on
sait se chargent de tout réduire à la raison, y compris la Révolution
146
Il faudrait créer, si rien n’existe qui vaille qu’
on
s’y dévoue. Mais quoi ! cela peut vous mener à crever de faim, ce qui
147
es prudents qui ont fait le tour des choses comme
on
fait le tour des galeries du Lido : bien décidé à ne rien acheter qui
148
e — que le fait même de s’y essayer définit ce qu’
on
nomme à Paris prétention. Méditez un peu cette note de Beausire : « B
149
spierre ». Bien. Ah ! très bien ! Mais qu’ensuite
on
fasse appel à Valéry ou au Surhomme, jamais absent d’ici, et je repre
150
e correspond à une certaine sécheresse d’âme. Car
on
ne voit que ce qu’on mérite. — Les plus beaux fantômes, et les plus r
151
rtaine sécheresse d’âme. Car on ne voit que ce qu’
on
mérite. — Les plus beaux fantômes, et les plus réels, ce sont les ang