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ent toutes les simplifications, qu’on les appelle
ou
non idées générales, et j’avoue bien volontiers qu’il n’est pas une o
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e voir ce qu’il sacrifiera, de la morale sportive
ou
de la morale jésuite. Mais enfin, voici un homme, et non plus seuleme
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ion de saint à ceux qui par leur élévation morale
ou
leurs souffrances semblent s’être le plus rapprochés du Christ ; et d
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ns. On spécialise les « compétences » des saints,
ou
de leurs reliques qui se multiplient prodigieusement. Alors éclate la
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Cadier, un jeune pasteur français, on descendit —
ou
l’on monta suivant M. A. Léo — du domaine de la pensée pure dans celu
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mps, d’un sourire, d’un sommeil, tant de bonheurs
ou
de dégoûts étranges viennent m’habiter ; je ne sais plus… Je suis bea
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dépends, je me dois de m’employer à sa sauvegarde
ou
à sa transformation. Mais il y faut une doctrine, me dit-on. L’avouer
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fiance vont guider ce corps et cet esprit… Créer,
ou
glisser au plaisir ? Êtes-vous belle, mon amie, — et vous, ma vie ? C
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juge bon d’éliminer de moi. Chacun son équilibre,
ou
plutôt, son « mouvement normal » de vie. g. Rougemont Denis de, « C
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oresque, de couleur locale, de détails techniques
ou
de fastidieuses explications nécessaires, défauts auxquels Montherlan
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envers les taureaux cet amour tourne en adoration
ou
en une véritable horreur sacrée. Voici Alban devant une bête qu’il de
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même) — il n’« accroche » pas à ce qui est triste
ou
ennuyeux, que ce soit l’idée de la mort ou les soucis politiques, soc
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triste ou ennuyeux, que ce soit l’idée de la mort
ou
les soucis politiques, sociaux, etc., et il ne met de la gravité que
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nt tout de trouver des réponses de l’intelligence
ou
de la foi aux inquiétudes profondes de leurs âmes séparées de Dieu. M
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Dés
ou
la clef des champs (1927)l « On sent l’absurdité d’un semblable s
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’abord des images décousues de sa vie, brillantes
ou
misérables, passionnées. Mais bientôt : — « Destin, s’écria-t-il, tu
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ne angoisse. Ça les dérange terriblement, sauf un
ou
deux qui s’imaginent gagner à mes dépens, témoin ce brave homme qui e
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l’étranger. Quelquefois je songe à ses paroles —
ou
peut-être n’étaient-ce que celles de mes folies ? Je me répète : para
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e. (Note de l’éd.) l. Rougemont Denis de, « Dés
ou
la clef des champs », Neuchâtel 1928 : beaux-arts, arts appliqués, ar
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steurs proscrits. On espère bien convertir de gré
ou
de force tous ceux qui resteront « Les enfants seront du moins cathol
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ois qui nous arriva de Genève il y a de cela cinq
ou
six ans. Il peignait alors des natures mortes, de petits paysages, il
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annière, fabrique une poupée, compose une affiche
ou
une mosaïque, c’est elle qui permettra de reconnaître une de ses œuvr
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it se faire délicate quand du haut de San Miniato
ou
de Fiesole, il peint Florence avec des roses et des jaunes jamais miè
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tes. Mais n’allez pas croire à des grâces faciles
ou
sentimentales. Il y a une sorte d’aristocratique dissimulation dans l
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ons, en réalité les exprime par ses défauts mêmes
ou
ses fausses négligences ; mais il faut pour comprendre cet art emprun
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ge pour être compris une complicité de sentiments
ou
d’état d’âme. Je ne verrais guère que Louis de Meuron, parmi ses aîné
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est sur le point de reparaître… Charles Humbert
ou
comment on passe en cinq ans de Baudelaire à Rubens. Il fut un temps
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flèteront soient aussi beaux que ceux qu’il peint
ou
modèle, le soir, à la lampe, en compagnie de sa femme (elle peint aus
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n une autre, ce doit être un dessin d’horlogerie,
ou
quelque plan d’une machine à mouvement perpétuel. Une autre encore :
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xplorer l’au-delà. En vérité il faut être sorcier
ou
artiste pour changer en instruments métaphysiques ces bonnes montres
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eu, en commémoration polie d’un passé imaginaire,
ou
peut-être pour essayer de se prendre encore au rêve de valse qu’on ét
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tue l’amour dans un monde où la question fidélité
ou
inconstance ne se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une femme
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s fatigués et épaissis. Regardez ces yeux mornes,
ou
luisants de concupiscences élémentaires : Ce sont vos contemporains l
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eurs faisaient les cent pas dans la neige fraîche
ou
s’accoudaient à la banquette d’une boutique à « Würstel » où nous nou
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Miroirs,
ou
Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)n « Remonte
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u’il aimait. n. Rougemont Denis de, « Miroirs,
ou
Comment on perd Eurydice et soi-même », Cahiers de l’Anglore, Genève,
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urir tourne le dos ferme les poings ne fais qu’un
ou
deux pas que les souvenirs s’épousent entre eux pendant que tes yeu
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n convient seule l’activité de la critique. Trois
ou
quatre grands écrivains — Claudel, Gide, Valéry… — suffisent à nous r
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œur sur les lèvres, qui ait quelque chose à dire,
ou
une qualité, une richesse d’âme comparable à celle d’un Goethe ou sim
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une richesse d’âme comparable à celle d’un Goethe
ou
simplement d’un Rilke, par exemple… » — Exigence et reproche égalemen
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ès lecture de ses œuvres, si M. Brunschwicg croit
ou
non à la divinisation finale de l’homme par le progrès des sciences e
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croit pas du tout, le troisième parce qu’il croit
ou
ne croit pas selon les sautes brusques de son tempérament. Attendons
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Enfin, l’ultime raison de ne pas désespérer, cinq
ou
six poètes. 4. « Quelque grande que soit » mon envie — comme disent
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e de Maldoror. « Qu’on nous montre un homme… » Un
ou
deux. Il suffit de très peu de sel pour rendre mangeables beaucoup de
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ns qui dépassent un certain plan. C’est mal vu. »
Ou
si on les pose, ajouterai-je, c’est pour les résoudre aussitôt et d’u
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ns pas à Barrès de quitter sa chambre, son cigare
ou
son moi. » 8. « La France… n’a pas su faire la révolution morale… pa
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ès bien ! Mais qu’ensuite on fasse appel à Valéry
ou
au Surhomme, jamais absent d’ici, et je reprends ma liberté. Beausire
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blement qu’elle est en Dieu — et soit qu’il sache
ou
qu’il ignore que la grâce seule permet de vouloir… C’est Nietzsche, e
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tômes m’apparaissent quand je suis faible, malade
ou
ivre, c’est-à-dire quand je suis dominé par le monde. Ils ont tous le
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définies, naissent autour de moi quand la passion
ou
la prière me font centre de mon univers. La vision « autre » dont vo
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ce des fantômes nés du relâchement de leur esprit
ou
de celui des autres. Nous avons vu des amateurs de pittoresque essaye
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de spirituel. Ce n’est pas en détraquant nos sens
ou
notre raison, ce n’est pas en nous efforçant de délirer que nous atte
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iculières, telles que les rêves (à l’état normal)
ou
les hallucinations (à l’état pathologique), pour prendre des états co