1
ire : une leçon d’énergie. Il se pique de n’avoir
pas
connu, jusqu’à ce jour au moins, cette inquiétude libératrice que pro
2
quons toutefois cette séparation, que Maurras n’a
pas
faite aussi franchement, du catholicisme et du christianisme, le chri
3
ue la Réforme. M. de Montherlant n’est décidément
pas
philosophe. Peut-être ne lui a-t-il manqué pour le devenir que le tem
4
haud de l’étreinte du fauve merveilleux ». Il n’a
pas
eu le temps de se ressaisir, le sport prolongeant pour lui, d’une faç
5
hâte salvatrice, M. de Montherlant ne s’est même
pas
demandé si ces deux contrepoisons pouvaient être administrés ensemble
6
ite, il a pourtant fallu la justifier, ce qui n’a
pas
été sans quelques tours de passe-passe de logique, admirablement masq
7
rançais qui ait compris que le but du sport n’est
pas
la performance, mais le style et la méthode, c’est-à-dire la formatio
8
artie doctrinaire de cette œuvre, elle ne lui est
pas
indispensable : « Ces simplifications valent ce que valent toutes les
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générales, et j’avoue bien volontiers qu’il n’est
pas
une opinion sur le monde à laquelle je ne préfère le monde ». Je préf
10
’air. Danse-t-il sur une musique que je n’entends
pas
? » — Mais plus que le corps en mouvement, c’est la domination de la
11
tressé dans vos couronnes de laurier. Vous n’êtes
pas
couronnés d’olivier. La main connaît la main dans la prise du témoin.
12
ence muette et sûre. Toutes ces choses ne se font
pas
en vain. Le chef se dresse entre les dix qui sont à lui. Il dit : « J
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les dix qui sont à lui. Il dit : « Je ne demande
pas
qu’on m’aime. Je demande qu’on me soit dévoué. » Ils disent : « Tu es
14
t : « Tu es notre capitaine. » Ces choses ne sont
pas
dites en vain. Stades que parcourent de jeunes et purs courages, donn
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l’effort sur ce qui doit être, et ce qui ne doit
pas
être tombera de soi-même. Ainsi l’athlète à l’entraînement ne s’épuis
16
Ainsi l’athlète à l’entraînement ne s’épuise-t-il
pas
à combattre certaines faiblesses : il développe ses qualités, le rest
17
leur point de départ. Mais leurs recherches n’ont
pas
été vaines. Ils en reviennent chargés de chefs-d’œuvre, et plus consc
18
te mère qui s’est sacrifiée aux siens, n’était-ce
pas
une sainte, comme ce missionnaire et cette diaconesse ? S’il n’y a pa
19
ce missionnaire et cette diaconesse ? S’il n’y a
pas
de saints protestants, il existe des saints dans le protestantisme. M
20
des saints dans le protestantisme. Mais il n’est
pas
de fin aux œuvres de Dieu. La sainteté parfaite ne commence qu’aux li
21
, il ne peut exister de saint véritable. Il n’y a
pas
de saints, mais il faut être parfait. Tel est l’enseignement de Jésus
22
rois jours, cela peut paraître excessif à qui n’a
pas
connu l’atmosphère particulière à ces rencontres. Rien de plus aéré,
23
rotestant — mais oui, M. Journet — et je ne crois
pas
qu’il puisse se produire ailleurs qu’en terre romande. C’est l’esprit
24
mond, j’en sais plusieurs qui ont ainsi « lâché »
pas
mal de préjugés en matières sociales. Mais ce qui est peut-être plus
25
la liberté d’un culte moins platonique : n’est-ce
pas
Léo qui prétendit qu’on ne peut juger les Associations qu’à leur faço
26
forêt, où Henriod debout sur un tronc coupé n’eut
pas
trop de toute sa souplesse pour maintenir l’équilibre des discussions
27
de la conférence3 pour savoir tout ce que je n’ai
pas
dit dans ces quelques notes. 3. Il suffit encore : f 2.50, nom et a
28
s, et si craintifs en même temps, si jaloux de ne
pas
nous déformer artificiellement : nous comprenons que nos œuvres, si e
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craintes et de réticences dont nous ne comprenons
pas
toujours l’objet. Peur de perdre le fil de la conscience de soi, peur
30
’on glisse vers la mort. L’important, c’est de ne
pas
se défaire. Mais rien n’était résolu. Me voici devant quelques problè
31
c’est encore une question… Je crois qu’il ne faut
pas
attendre immobile dans sa prière, qu’une révélation vienne chercher l
32
rcher l’âme qui se sent misérable. Je ne recevrai
pas
une foi, mais peut-être arriverai-je à la vouloir, et c’est le tout.
33
vorables. J’ai d’autres instincts et je n’entends
pas
tous les cultiver pour cela seul qu’ils sont naturels : la nature est
34
ntelligence de faire primer la vie, puisque n’est
pas
encore parfait cet instinct qui est la Vertu. Ma vertu est de cherche
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de moindre résistance. Mais je ne m’emprisonnerai
pas
dans ces limites. Ma liberté est de les porter plus loin sans cesse,
36
e surpasser). J’entends des phrases qu’il ne faut
pas
encore comprendre — tout est si fragile —, mais je sais quelle légère
37
qui me rend fort pour — autre chose…) Ô luxe, ne
pas
aimer son plaisir ? Je reste candidat au salut. 4. La sincérité abs
38
nent un caractère de certitude qu’elles n’avaient
pas
encore en moi. C’est en quoi ma sincérité est tendancieuse. 5. Quant
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d’un système, hors la religion. Un système n’est
pas
vrai, il est utile. C’est pourquoi je ne puis comprendre les excommun
40
ons nécessaires, défauts auxquels Montherlant n’a
pas
toujours échappé, mais qu’il domine dans l’ensemble et entraîne dans
41
n la plus réaliste de la vie animale. Et n’est-ce
pas
justement parce qu’il est poète qu’il peut atteindre à pareille inten
42
it-il d’Alban — (de lui-même) — il n’« accroche »
pas
à ce qui est triste ou ennuyeux, que ce soit l’idée de la mort ou les
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gravité que dans les choses voluptueuses, je n’ai
pas
dit les choses sentimentales. Le tragique de la vie ne lui échappe pa
44
ntimentales. Le tragique de la vie ne lui échappe
pas
. Il en parle, il le chante avec pathétique. Mais c’est parce qu’il es
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que insolence les forces créatrices, ne vaut-elle
pas
d’être élevée en témoignage pour notre exaltation ? Comme la vue des
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force d’y vouloir trouver un sens, ne vaudrait-il
pas
autant s’abandonner parfois à ces forces obscures qui nous replacent
47
chenille. » (Évolution créatrice, p. 188) Je n’ai
pas
la place de citer ici plusieurs autres passages qui préciseraient ce
48
arno trop vaste et nu, les voitures revenaient au
pas
des Cascine. Vers sept heures, il n’y en eut presque plus. Nous étion
49
che est arrêtée tout près de l’eau. Mais ce n’est
pas
d’elle que vient cette chanson jamais entendue qui nous accompagne de
50
ette brume, une vie étrangère, une paix qui n’est
pas
humaine, et qui nous laisse gourds et faibles, caressant en nous la l
51
une rose pour le plaisir ! (Et je ne pensais même
pas
, alors : une si belle rose.) Le tambour livra un homme élégant et tra
52
uvre sans cesse à ta course aveugle ; tu n’aurais
pas
trouvé ça tout seul, avec tes airs pessimistes. De nouveau, d’un coup
53
ur durer, et tu te réjouissais, parce que tu n’as
pas
beaucoup d’imagination, et que tu es un pauvre vaudevilliste qui use
54
us à m’en délivrer. Ma vie m’a repris, je ne suis
pas
heureux. Je sais très bien que je devrais tenter quelque chose. Je su
55
u nombre des protestants. Aussi ne s’effraye-t-on
pas
trop, au début, de l’émigration des fidèles qui suivent leurs pasteur
56
’eux des mœurs un peu bourgeoises dont je ne vais
pas
faire le procès, mais qui expliquent, me semble-t-il, pour une part,
57
le premier public des jeunes artistes, n’existant
pas
ici, le peintre se trouve placé d’emblée en face de ce qu’on nomme le
58
tout le monde s’accorde à dire qu’on n’attendait
pas
moins du fils d’un tel père. « Voilà le train du monde… » Je ne pense
59
el père. « Voilà le train du monde… » Je ne pense
pas
qu’il en faille gémir. Une certaine résistance est nécessaire pour qu
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ompréhension que de timidité. ⁂ On ne m’en voudra
pas
de ne citer ni dates de naissance, ni traits d’enfance géniaux et pro
61
de ces espaces définis par quelques plans ne tue
pas
un certain mystère. Cette cour sans issue, cette tulipe bizarre, cett
62
au Neuchâtelois. S’il casse des vitres, ce n’est
pas
seulement pour le plaisir, mais plutôt par amour du courant d’air. Ce
63
tres rapprochements moins paradoxaux. Donzé n’est
pas
de ceux pour qui la peinture consiste à habiller une idée. Voyez son
64
e idée. Voyez son portrait de Meili : il ne prend
pas
le sujet par l’intérieur, mais il taille ce visage dans une pâte rich
65
ause de sa chevelure, sans doute ! On ne pourrait
pas
se tromper plus. ⁂ À vrai dire j’en vois peu parmi les jeunes qui vou
66
sme un peu amer, d’une tristesse qui ne s’affiche
pas
, mais s’insinue dans toute sa palette, ce charme enfin, ce je ne sais
67
ucoup des meilleurs de nos artistes. Mais n’allez
pas
croire à des grâces faciles ou sentimentales. Il y a une sorte d’aris
68
u d’harmonies funèbres, comme un qui n’attendrait
pas
que l’enterrement s’éloigne pour entonner une chanson à boire. Et sa
69
ec une toile comme le Potier. Si la couleur n’est
pas
encore aussi plantureuse que les formes, il y a une belle richesse de
70
visage. Aurèle tient un livre ouvert, et ce n’est
pas
je pense qu’il le lise, mais il aime caresser la reliure qu’il doit a
71
épure : c’est intitulé « nature morte ». Pourquoi
pas
naissance d’un songe ? C’est en effet un rêve de précision qui s’inca
72
’un style pourtant assez large et que n’entravait
pas
son scrupule réaliste. ⁂ Mais voici dans son costume d’aviateur, reto
73
elui du corps de l’athlète ; l’œuvre n’atteignait
pas
encore pleinement sa vie propre. Depuis, Léon Perrin semble avoir évo
74
ine, une élégance aiguë. Notre revue n’est certes
pas
complète. Mais elle a du moins l’avantage de grouper des artistes qui
75
cisme moderne dont les frères Barraud ne seraient
pas
très éloignés par d’autres côtés. Un avenir peut-être proche dira dan
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de nos sentiments et de nos actes. Donc, n’ayant
pas
renoncé à certaine idée que j’avais d’un romantisme viennois, je fus
77
rard de Nerval. Mais je pense que je n’avais même
pas
prononcé intérieurement ce nom lorsque je m’assis dans l’ombre du thé
78
son rêve, beaucoup plus loin que moi, il n’entend
pas
ma question. L’envie me prend d’aller le rejoindre. Me voici tout aba
79
sonne rien de positivement démodé ; je n’eus même
pas
le sentiment de quoi que ce soit d’immatériel. D’ailleurs le trouble
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quer de leurs petits chiens musclés… Je n’en suis
pas
fâché. » Il y avait peu de monde dans les rues. Des jeunes gens avec
81
es gens avec une femme à chaque bras, l’air de ne
pas
trop s’amuser. — Ceci du moins n’a guère changé, dis-je, songeant aux
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apricieux d’ailleurs, dépourvu d’ironie, mais non
pas
de légèreté. C’est une sorte d’inconstance folâtre qui cache une inca
83
r les corps précieux qui les revêtiraient. Vint à
pas
pressés une jeune femme, chapeau rouge et manteau de fourrure brune,
84
arder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne sûmes
pas
dissimuler nous trahit ; elle finit donc par accepter et vint à nous
85
ir. Ils prennent au hasard des liqueurs qui n’ont
pas
été préparées pour leur soif. Ils ne savent plus les signes ni les re
86
ès de nous. Gérard songeait, muet, et n’en buvait
pas
moins. « Pourquoi vous ne dites rien ? » fit-elle d’un ton de reproch
87
oucement, pauvre colombe dépareillée, vous n’avez
pas
de ressemblance, et c’est ce qui vous perdra. » La pauvre fille ne co
88
qui vous perdra. » La pauvre fille ne comprenant
pas
, il y eut un moment pénible, comme toujours lorsqu’un peu de simple h
89
is rien : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. Moi
pas
. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très, très longtemps… Et pas
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oublié mes clefs il y a très, très longtemps… Et
pas
de Lune ce soir, il serait dangereux de s’endormir. » Se penchant ver
91
e grand ouvert. Les chauffeurs faisaient les cent
pas
dans la neige fraîche ou s’accoudaient à la banquette d’une boutique
92
sa génération. Seulement chez lui, cela ne s’est
pas
porté sur les autos. Il préfère s’intéresser aux divers types humains
93
donner… D’ailleurs on ne lui doit rien, n’est-ce
pas
? Il en tombe d’accord ; accepte d’attendre comme un enfant sage que
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assiques. Repoussé par le monde parce qu’il n’est
pas
encore quelqu’un, Stéphane cherche à savoir ce qu’il est. C’est une a
95
on. Mais là encore il se singularise : il n’écrit
pas
de livre pour y pourchasser un moi qui feint toujours de se cacher de
96
u’à la dernière page, et là déclare froidement ne
pas
exister. Non : il a remarqué que l’époque peut être définie par l’abo
97
tout instant. Cet exercice — essayez ! — ne tarde
pas
à devenir obsédant. Stéphane passe des heures entières à se regarder
98
utres hiatus de ce genre, qui l’intriguent à n’en
pas
finir. Quand il est très fatigué, il veut voir encore cette fatigue d
99
vons dans un décor flamboyant de glaces. À chaque
pas
, on offre à Stéphane sa tête, son portrait en pied. Il se voit dans l
100
garent dans sa nuit. Je saute quelques délires et
pas
mal de superstitions. Enfin cette expérience folle le mène à une déco
101
t par la négation de l’invérifiable. Stéphane n’a
pas
eu confiance. Or la personnalité est un acte de foi : Stéphane ne sai
102
l ne sait plus aimer. (Ces jeunes gens ne veulent
pas
se fatiguer pour rien.) Cette histoire idiote, d’ailleurs vraie, se b
103
r dérisoirement troublé par la crainte de n’avoir
pas
saisi le sens véritable d’un texte, trouve parfois de cette incompréh
104
ut-être la mort. La mort absolue, celle qui n’est
pas
une vie nouvelle. La mort dans la transparence glaciale de l’évidence
105
utre visage. Car oublier son visage, ne serait-ce
pas
devenir un centre de pur esprit ? » C’est un premier filet d’eau vive
106
e qui perce le sol aride : mais Stéphane n’entend
pas
encore gronder les eaux profondes. Le désir de s’hypnotiser l’irrite
107
se, il répète à plusieurs reprises : « Je ne sais
pas
: je suis !… Je ne sais plus… mais je suis ! » Un peu plus tard, ce
108
adeau d’un piano dont il a coupé les cordes, mais
pas
toutes, en sorte que plusieurs touches sonnent encore, et c’est là-de
109
ourd’hui le hasard qui m’amène à Tubingue ne soit
pas
seulement un hasard… Hier, c’était la Pentecôte. La fête de la plus h
110
ésie, — d’une poésie, l’on dirait, qui ne connaît
pas
son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes une sé
111
n, bon, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce
pas
, ils ne savent pas trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces p
112
y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent
pas
trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces portraits ? — (et co
113
t Diotima. » On rougirait à moins. — « Je ne puis
pas
parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on s
114
maintenant. La grande allée sur l’île n’existait
pas
, en face, ni les maisons. Il voyait des prairies et des collines bass
115
» — et cet aveu mystérieux : « La perfection n’a
pas
de plainte »… Vivait-il encore ? Ce lieu soudain m’angoisse. Mais le
116
urrais aussi bien habiter la chambre. Il ne vient
pas
tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4… Une rue étouffée entre des
117
, tournoyent lentement dans la musique. Je n’aime
pas
les jeunes Doktors à lunettes, en costume de bain, qui pagayent vigou
118
ante des prières à dieux perdus. II Je ne sais
pas
où tu m’entends mais ces hauts murs d’ombre et de vent autour du mond
119
nt à la recherche d’un corps faible. Je ne sais
pas
où tu m’attends mais je sais comment tu pleurais. Au carrefour des cr
120
rne le dos ferme les poings ne fais qu’un ou deux
pas
que les souvenirs s’épousent entre eux pendant que tes yeux s’ouvre
121
bizarrement les journalistes. (L’esprit n’est-il
pas
ce qui allège ? Ce qui fait s’envoler les ballons ?) 2. En vérité, c
122
s, « qu’on nous montre un seul Français qui n’ait
pas
le cœur sur les lèvres, qui ait quelque chose à dire, ou une qualité,
123
evue française , et qui ont, sur un tas de sujets
pas
importants, des idées « pertinentes », comme dit M. Charly Clerc ; de
124
. Et c’est charmant, disent les dames. Je ne suis
pas
aussi dur que les dames. … et M. Maurois, comme disent beaucoup de ge
125
laisse même plus la colère. Ah ! nous ne risquons
pas
d’être tués par des statues !) Tout d’un coup, trois hommes qui ont d
126
l croit tout à fait, l’autre parce qu’il ne croit
pas
du tout, le troisième parce qu’il croit ou ne croit pas selon les sau
127
tout, le troisième parce qu’il croit ou ne croit
pas
selon les sautes brusques de son tempérament. Attendons encore un peu
128
un peu avec ceux-là… Enfin, l’ultime raison de ne
pas
désespérer, cinq ou six poètes. 4. « Quelque grande que soit » mon e
129
u palais à nos trois amis (qui pourtant n’eussent
pas
demandé mieux que de reconnaître, etc.) Actuellement, Nietzsche est e
130
sible. Direz-vous que les Allemands ne les posent
pas
mieux ? Du moins n’ont-ils pas cette impudeur française de supprimer
131
ands ne les posent pas mieux ? Du moins n’ont-ils
pas
cette impudeur française de supprimer ce qu’ils ne peuvent résoudre s
132
leurs plus ramifiés, plus organiques. Ils ne sont
pas
obscurs, ils sont arborescents. Voyez Bertram, Gundolf, Rudolf Kassne
133
s’imposait de longues marches. Mais ne demandons
pas
à Barrès de quitter sa chambre, son cigare ou son moi. » 8. « La Fra
134
re, son cigare ou son moi. » 8. « La France… n’a
pas
su faire la révolution morale… parce qu’elle manque de sens moral. »
135
imites d’une nature que Léonard ne soupçonna même
pas
; — que ces limites rendent absurde l’adoption d’un ordre de valeurs
136
amène au centre des seuls problèmes qui ne soient
pas
insignifiants, voilà qui suffira peut-être à le justifier aux yeux de
137
« Vos fantômes ne sont
pas
les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 19
138
es »] (juillet 1930)s t I Vos fantômes ne sont
pas
les miens, et qui saura jamais s’ils ne sont pas pour moi « des chose
139
pas les miens, et qui saura jamais s’ils ne sont
pas
pour moi « des choses » — et réciproquement. La distinction entre « c
140
s individuelles, en dehors de quoi je ne lui vois
pas
de signification générale. Certains fantômes m’apparaissent quand je
141
oquer la basse pègre du monde spirituel. Ce n’est
pas
en détraquant nos sens ou notre raison, ce n’est pas en nous efforçan
142
en détraquant nos sens ou notre raison, ce n’est
pas
en nous efforçant de délirer que nous atteindrons une réalité supérie
143
e, « [Réponse à une enquête] Vos fantômes ne sont
pas
les miens… », Raison d’être, Paris, juillet 1930, p. 7-8. t. Les rép