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vit sa respiration. Puis ses pattes se tendirent
peu à peu
, comme un corps qu’on gonflerait à la pompe, tandis que dans cet agra
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génie taurin. Ce qui perce à chaque page, ce qui
peu à peu
obsède dans l’inflexion des phrases, ce qui s’élève en fin de compte
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repart bras dessus, bras dessous. Et l’on apprend
peu à peu
des choses bien curieuses sur son compte. Il a fait de la pâtisserie,
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u Gérard ». Les cocktails du Moulin-Rouge avaient
peu à peu
envahi notre sang. Nos pensées devenaient légères comme des ballons.
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arnations d’un amour dont l’être éternel apparaît
peu à peu
, à travers la simultanéité de ses manifestations. Gérard parle avec u
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ntraîne, nous révèle le sens réel de nos vies, et
peu à peu
, de leurs moindres coïncidences. La fatigue calme son lyrisme et son