1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 vit sa respiration. Puis ses pattes se tendirent peu à peu , comme un corps qu’on gonflerait à la pompe, tandis que dans cet agra
2 génie taurin. Ce qui perce à chaque page, ce qui peu à peu obsède dans l’inflexion des phrases, ce qui s’élève en fin de compte
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 repart bras dessus, bras dessous. Et l’on apprend peu à peu des choses bien curieuses sur son compte. Il a fait de la pâtisserie,
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
4 u Gérard ». Les cocktails du Moulin-Rouge avaient peu à peu envahi notre sang. Nos pensées devenaient légères comme des ballons.
5 arnations d’un amour dont l’être éternel apparaît peu à peu , à travers la simultanéité de ses manifestations. Gérard parle avec u
6 ntraîne, nous révèle le sens réel de nos vies, et peu à peu , de leurs moindres coïncidences. La fatigue calme son lyrisme et son