1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 ! je sens très bien cette force — ici, je tape du pied —, ces désirs, ce corps… J’ai un passé à moi, un milieu, des amis, ce
2 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
2 rues de longs cris en voyage. Je me sentis perdre pied délicieusement. Et de cette nuit peut-être, je ne saurai jamais rien…
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
3 e de mon amour. Je me sens voluptueusement perdre pied . Vertige de te revoir, vertige de te perdre vraiment, parce que c’est
4 las pour s’étonner. Transi, je me balançais d’un pied sur l’autre dans de la neige fondante, tout en croquant une de ces sa
4 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
5 pas, on offre à Stéphane sa tête, son portrait en pied . Il se voit dans l’acte de se raser, de se baigner ; son image descen