1
Le rapprochement est peut-être prématuré, tout au
plus
peut-on dire qu’à l’heure présente déjà, son œuvre, comme celle de Ba
2
éjà, son œuvre, comme celle de Barrès, nous offre
plus
qu’un agrément purement littéraire : une leçon d’énergie. Il se pique
3
a bravement affirmé son unité. Car le temps n’est
plus
, où les jeunes gens se faisaient, avec sérieux, des âmes exceptionnel
4
ment compliquées, qui s’exprimaient en une langue
plus
compliquée encore et nuancée jusqu’à l’ennui. La guerre a donné le co
5
, c’est-à-dire libres. Et cela me semble d’autant
plus
paradoxal que M. de Montherlant est justement un des premiers Françai
6
l sur une musique que je n’entends pas ? » — Mais
plus
que le corps en mouvement, c’est la domination de la raison sur ce co
7
règle ; on l’assimile, à tel point qu’elle n’est
plus
une entrave à la violence animale déchaînée dans le corps du joueur à
8
e un jeu sérieux dont on respecte les règles, non
plus
comme une lutte sauvage et déloyale, la morale d’équipe devient toute
9
rité, comme bien l’on pense). Enfin, enseignement
plus
général de la morale sportive : « la règle de rester en dedans de son
10
e et qui gouverna le monde ancien : La moitié est
plus
grande que le tout ». Le sport comme un apprentissage de la vie : tou
11
bien ce qu’on objectera : le sport ainsi compris,
plus
que l’apprentissage de la vie, est l’apprentissage de la guerre, dira
12
sez fortes pour pouvoir tout lire, et il n’y aura
plus
besoin de roman catholique. » C’est ce qu’on pourrait appeler une « m
13
orale jésuite. Mais enfin, voici un homme, et non
plus
seulement un homme de lettres. Un homme en qui s’équilibrent déjà l’e
14
llent rien2 ; sa morale virile nous est néanmoins
plus
proche que la sensualité vaguement chrétienne de tel autre écrivain c
15
s. Ils en reviennent chargés de chefs-d’œuvre, et
plus
conscients de leurs moyens d’expression. Très maîtres de leur techniq
16
on morale ou leurs souffrances semblent s’être le
plus
rapprochés du Christ ; et dans l’Église persécutée, le martyre devien
17
tinue à faire des saints, tandis que ce terme n’a
plus
qu’un sens relatif pour nous protestants. Est-ce là nous juger ? Les
18
critiques. Mais c’est pour affirmer avec d’autant
plus
de force que « en situant tout le devoir chrétien dans l’accomplissem
19
sainteté parfaite ne commence qu’aux limites les
plus
hautes de la vertu. Dans ce sens, il ne peut exister de saint véritab
20
enne d’étudiants eurent lieu au printemps, et non
plus
à Sainte-Croix, mais à Aubonne. Un plein succès a répondu à cette inn
21
il de la Drôme, dont il est l’un des artisans les
plus
actifs. Pour remplacer un travail promis par M. A. Reymond malheureus
22
qui ont vu, qui ont souffert, et qui ne se payent
plus
de mots ni d’utopies, Clerville, Janson et Brémond ont su arracher le
23
ous voulons, c’est élever l’homme au-dessus de la
plus
dégradante condition, et nous n’y arriverons que par un travail d’édu
24
repas réunissent tout le monde dans la gaieté la
plus
charmante. On y vit un ouvrier en maillot rouge assis entre un banqui
25
on peut bien dire du diable et se termina sous le
plus
beau soleil de printemps. Libre à qui veut d’y voir un symbole. On ne
26
rté, tout simplement. Mais précisons : c’est bien
plus
que la liberté de défendre sa petite hérésie personnelle et de s’affi
27
trui, — c’est la liberté dans la recherche. Chose
plus
rare qu’on ne pense, à Aubonne on se sent prêt à tout lâcher pour une
28
s en matières sociales. Mais ce qui est peut-être
plus
important, on eut l’impression, durant les discussions entre de Sauss
29
rdons voix dans le débat d’écrire, aux forces les
plus
secrètes de notre être comme aux calculs les plus rusés. Nous choisis
30
plus secrètes de notre être comme aux calculs les
plus
rusés. Nous choisissons les idées comme on choisit un amour dont on e
31
dégoûts étranges viennent m’habiter ; je ne sais
plus
… Je suis beaucoup de personnages, faudrait choisir. Vous me direz qui
32
s et dominateurs par quoi l’homme ne se distingue
plus
de l’animal. Louée soit ma force et tout ce qui l’exalte, et tout ce
33
grand pour ma vie — toute ma joie ! » Ce n’était
plus
une douleur rare que j’aimais dans ces brutalités, c’était ma liberté
34
out. S’il est une révélation, c’est en me rendant
plus
parfait que je lui préparerai les voies. Agir ? Sur moi d’abord. Il n
35
rai les voies. Agir ? Sur moi d’abord. Il ne faut
plus
que je respecte tout en moi. Je ne suis digne que par ce que je puis
36
tionner : cela consiste à retrouver l’instinct le
plus
profond de l’homme, la vertu conservatrice qui ne peut dicter que les
37
nservatrice qui ne peut dicter que les gestes les
plus
favorables. J’ai d’autres instincts et je n’entends pas tous les cult
38
as dans ces limites. Ma liberté est de les porter
plus
loin sans cesse, de battre mes propres records. De ce lent effort naî
39
rps à une faiblesse en la nommant ; or je ne veux
plus
de faiblesses4.) Et demain peut-être, agir dans le monde, si je m’en
40
ui faisait la richesse du Songe, mais d’une ligne
plus
ferme, d’une unité plus pure aussi. Le sujet était périlleux : si par
41
u Songe, mais d’une ligne plus ferme, d’une unité
plus
pure aussi. Le sujet était périlleux : si particulier, il prêtait à d
42
herlant reste poète jusque dans la description la
plus
réaliste de la vie animale. Et n’est-ce pas justement parce qu’il est
43
aureaux ne se manifeste ce passage du réalisme le
plus
hardi à un lyrisme plein de simple grandeur. Voici la mort du taureau
44
rce qu’il est poète : le chant fini, il n’y pense
plus
. On comprend qu’une telle attitude agace des gens qui se soucient ava
45
de l’instinct universel et nous élèvent à une vie
plus
âpre et violemment contractée, par la grâce de l’éternel Désir ? 6.
46
lle accueille le ciel — et derrière, elle devient
plus
secrète. Vers l’est, des collines fluides et roses. De l’autre côté,
47
Cascine. Vers sept heures, il n’y en eut presque
plus
. Nous étions seuls sur le pavé qui exhalait sa chaleur, au long des q
48
suivions maintenant le sentier du bord du fleuve,
plus
bas que la Promenade désertée. Sur les eaux, comme immobiles, des nua
49
rt dur des berges : un malaise montait dans l’air
plus
frais, avec l’odeur du limon. Nous marchions vers ces hauts arbres cl
50
ant entrer là-bas dans je ne sais quelle harmonie
plus
reposante. Cette imparfaite accoutumance au monde de sensations incon
51
baignés nous promettait pourtant une connaissance
plus
intime de certaine tristesse. Seule une maison blanche est arrêtée to
52
, de romantisme… nous voici dans une réalité bien
plus
étrange.) Une atmosphère de triste volupté emplit notre monde à ce ch
53
œufs s’engagent dans le marais, cherchant le gué.
Plus
proches, les syllabes nous parviennent au ras du fleuve sombre. Nul d
54
ui s’impose à nos pensées. Ici la vie n’a presque
plus
de sens, comme le fleuve. Elle n’est qu’odeurs, formes mouvantes, rem
55
fatigués de l’esprit qui les exerce, des voluptés
plus
faciles — pour infuser dans nos corps charmés d’un repos sans rêves u
56
repos sans rêves une langueur dont on ne voudrait
plus
guérir… Mais nous voyons la ville debout dans ses lumières. Architect
57
rapide dans un décor qui est le rêve éternisé des
plus
voluptueuses intelligences — tous les tableaux dans le noir des musée
58
pour être seul parmi la foule, lève les yeux, au
plus
beau ciel du monde. i. Rougemont Denis de, « Soir de Florence », L
59
s. J’étais seul. Le café est un lieu anonyme bien
plus
propice au rêve que ma chambre où m’attendent tous les soirs quand je
60
ro, on entre ici dans le jardin des songeries les
plus
étranges qu’appelle la musique. Je me gardai donc d’ouvrir le journal
61
et cette mécanique me restitue chaque fois un peu
plus
de lassitude, un peu plus d’ennui. J’essayai donc de rêver. Mais cett
62
itue chaque fois un peu plus de lassitude, un peu
plus
d’ennui. J’essayai donc de rêver. Mais cette rose oubliée me gênait :
63
iqueur. Et quand j’eus fini de boire, mes pensées
plus
rapides s’en allèrent un peu vers l’avenir et j’osai quelques rêves.
64
fait des soirs si doux aux amants quand ils n’ont
plus
que des baisers au goût d’adieu, et l’avenir où se mêlent incertaines
65
ai jamais rien… (sinon qu’au lendemain je n’avais
plus
un sou). Je n’ai jamais revu l’étranger. Quelquefois je songe à ses p
66
s ? Je me répète : paradoxes, mais cela ne suffit
plus
à m’en délivrer. Ma vie m’a repris, je ne suis pas heureux. Je sais t
67
me regarde avec inquiétude, parce que je ne suis
plus
tout à fait le même. Puis elle me laisse, parce que le lait va monter
68
désespoir, ô vie sans faute, vie sans joie… Ah !
plus
amère, plus amère encore, saurai-je un jour te désirer, te haïr… 9.
69
ô vie sans faute, vie sans joie… Ah ! plus amère,
plus
amère encore, saurai-je un jour te désirer, te haïr… 9. Calembour s
70
érences, devant un très bel auditoire, est un des
plus
passionnants et des plus controversés de l’histoire. L’un de ceux, au
71
el auditoire, est un des plus passionnants et des
plus
controversés de l’histoire. L’un de ceux, aussi, où il est le plus di
72
de l’histoire. L’un de ceux, aussi, où il est le
plus
difficile de rester impartial. M. Lombard, recteur de l’Université, e
73
d’après un système préconçu. (Cette attitude est
plus
rare qu’on ne le croit, de nos jours.) M. Esmonin montra avec beaucou
74
685, date de la révocation, la France passa de la
plus
grande liberté à la plus grande tyrannie. En proclamant la liberté re
75
n, la France passa de la plus grande liberté à la
plus
grande tyrannie. En proclamant la liberté religieuse, Henry IV mettai
76
uitter le pays, Louis XIV commit un des actes les
plus
vexatoires que l’histoire ait enregistrés. Après avoir fait un tablea
77
istes, en effet, n’ignorent rien des courants les
plus
modernes, et sont bien situés pour n’en prendre que le meilleur ; mai
78
Paris, ou bien ils se retirent dans une solitude
plus
effective, quitte à nous revenir munis du passeport indispensable d’u
79
inait des nus aux crayons de fard. C’était un peu
plus
Blanchet que Barraud, plus Picasso que Matisse ; mais il y avait enco
80
e fard. C’était un peu plus Blanchet que Barraud,
plus
Picasso que Matisse ; mais il y avait encore du flou, des courbes com
81
flou, des courbes complaisantes. Meili est devenu
plus
net, plus cruel aussi. À Marin, près Neuchâtel, dans cette petite mai
82
courbes complaisantes. Meili est devenu plus net,
plus
cruel aussi. À Marin, près Neuchâtel, dans cette petite maison qu’on
83
elure, sans doute ! On ne pourrait pas se tromper
plus
. ⁂ À vrai dire j’en vois peu parmi les jeunes qui vouent tout leur am
84
Japonais d’une ironie mélancolique et qui voient
plus
loin qu’on ne croit, mais il a toujours l’air de songer à la Hollande
85
l’impression, à voir ses dernières toiles, d’une
plus
grande certitude intérieure. Les visages sont plus calmes, les couleu
86
lus grande certitude intérieure. Les visages sont
plus
calmes, les couleurs s’avivent, le soleil est sur le point de reparaî
87
es Humbert livré à sa fougue originale. Il y en a
plus
encore chez un Aurèle Barraud. Il suffit de le voir peint par lui-mêm
88
ipline qu’elle s’impose. Et voilà qui fait encore
plus
« Renaissance » : le costume est drapé avec un soin minutieux, mais u
89
ait son mari). Et puis voici François Barraud, le
plus
jeune des frères. Il vient apporter des dessins qui ressemblent beauc
90
s huiles de Charles, moins intensément réalistes,
plus
fins, mais tout aussi habiles dans l’utilisation du clair-obscur qui
91
s y introduire, et nous ne saurions trouver guide
plus
pittoresque. Celui-ci s’était égaré en avant, très en avant, sans s’e
92
s un éclairage très net, mais inusité, l’objet le
plus
banal se charge de mystère. Que va-t-il se passer là-dedans ? Et ces
93
e Joueur de rugby. C’était le poids de la pierre,
plus
que celui du corps de l’athlète ; l’œuvre n’atteignait pas encore ple
94
Depuis, Léon Perrin semble avoir évolué vers une
plus
grande harmonie de lignes. Je pense surtout à ses bas-reliefs du BIT
95
stes qui, par le fait des circonstances peut-être
plus
que par de naturelles affinités, se trouvent former un mouvement acti
96
au sein de ce mouvement, d’en distinguer d’autres
plus
organiques ? D’une part il y a des préoccupations décoratives qui pou
97
e à l’harmonie des lignes ; où la lumière éclaire
plus
qu’elle ne caresse ; où pourtant les hivers les plus durs réservent d
98
s qu’elle ne caresse ; où pourtant les hivers les
plus
durs réservent des douceurs secrètes. 7. Publication dont cette rev
99
ui dans les opérettes de Strauss, qu’on ne trouve
plus
nulle part. Dans les dancings, un peuple de fêtards modérés, Juifs et
100
enche vers un voisin pour lui demander je ne sais
plus
quoi. Mais sans doute évadé dans son rêve, beaucoup plus loin que moi
101
oi. Mais sans doute évadé dans son rêve, beaucoup
plus
loin que moi, il n’entend pas ma question. L’envie me prend d’aller l
102
ôde ici comme une tristesse amoureuse. Elle n’est
plus
que l’approche d’une grandeur où se perdraient nos amours terrestres
103
lique où l’on quitte ce visage aimé pour d’autres
plus
beaux peut-être, mais inconnus. Voilà que la forme blanche, sous un b
104
ouffrance… Mais le temps approche où vous n’aurez
plus
besoin de souffrir pour comprendre. Le faisceau de lumière quitta la
105
où la question fidélité ou inconstance ne se pose
plus
. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une femme — au plus deux, en y réfléc
106
us. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une femme — au
plus
deux, en y réfléchissant bien, mais peut-être était-ce la même sous d
107
ccepter et vint à nous avec un sourire du type le
plus
courant : « Vous êtes bien gentils, messieurs ! » Il n’y avait plus q
108
ous êtes bien gentils, messieurs ! » Il n’y avait
plus
qu’à lui prendre chacun un bras, une femme pour deux hommes — et ce f
109
aine, parce qu’elles le rattachaient aux buts les
plus
hauts de notre vie. Ces citadins blasés s’amusent plus grossièrement
110
hauts de notre vie. Ces citadins blasés s’amusent
plus
grossièrement que des barbares, ils s’imaginent pouvoir faire une pla
111
utant dire que ceux qui les fréquentent ne savent
plus
ce que c’est que le plaisir. Ils prennent au hasard des liqueurs qui
112
t pas été préparées pour leur soif. Ils ne savent
plus
les signes ni les ressemblances. Aussi l’ennui règne-t-il bruyamment
113
crois que l’Orient est devenu fou. Il ne comprend
plus
rien. » Des bugles agonisaient, aux dernières mesures d’un tango. Not
114
andalisée par cette atteinte aux lois du genre le
plus
conventionnel qui soit. Gérard la regarda avec une certaine pitié : «
115
eux. Mais l’ombre de cette ville illusoire est la
plus
douce à mes vagabondages sans but. Vous savez, je lance mes filets da
116
ent dans la nuit froide. Gérard ne disait presque
plus
rien ; à peine, de temps en temps, s’il parlait à voix basse à son ho
117
mpila dans des autos ; en dix minutes, il n’y eut
plus
personne, la place s’éteignit. Mais Gérard ? Ses yeux s’étaient fixés
118
ute est-il trop impatient, demande-t-il aux êtres
plus
qu’ils ne peuvent donner… D’ailleurs on ne lui doit rien, n’est-ce pa
119
ntrer en lui-même. « Il se ramène en soi, n’ayant
plus
où se prendre » comme parle un de nos classiques. Repoussé par le mon
120
’énervent, mais l’aveu qu’il en consent l’attache
plus
secrètement à son aventure. Nous vivons dans un décor flamboyant de
121
on s’hypnotiser avec son propre regard ? Il n’y a
plus
que cette incantation à soi-même qui pourrait lui rendre la certitude
122
s l’homme moderne un besoin de vérifier qui n’est
plus
légitime dès l’instant qu’il se traduit par la négation de l’invérifi
123
ersonnalité est un acte de foi : Stéphane ne sait
plus
ce qu’il est. Semblablement, il ne sait plus aimer. (Ces jeunes gens
124
sait plus ce qu’il est. Semblablement, il ne sait
plus
aimer. (Ces jeunes gens ne veulent pas se fatiguer pour rien.) Cette
125
prises : « Je ne sais pas : je suis !… Je ne sais
plus
… mais je suis ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de grand soleil s
126
rer là-dessus l’attention du médecin, mais il est
plus
difficile de se faire comprendre par un sot que par un fou. » L’hiver
127
es auxquels notre temps doit vouer l’attention la
plus
grave — car il vécut dans ces marches de l’esprit humain qui confinen
128
nfinent peut-être à l’Esprit et dont certains des
plus
purs d’entre nous se préparent à tenter le climat, — j’avais rêvé sur
129
hasard… Hier, c’était la Pentecôte. La fête de la
plus
haute poésie. Mais dans ce siècle, où tant de voix l’appellent, combi
130
ar aussitôt l’on se met à raconter les choses les
plus
affreuses sur son compte, simplement parce qu’il a aimé une femme, po
131
Avril et mai et juin sont lointains, Je ne suis
plus
rien, je n’aime plus vivre. Il y avait encore plus de paix que maint
132
sont lointains, Je ne suis plus rien, je n’aime
plus
vivre. Il y avait encore plus de paix que maintenant. La grande allé
133
us rien, je n’aime plus vivre. Il y avait encore
plus
de paix que maintenant. La grande allée sur l’île n’existait pas, en
134
u bon sens hochent la tête et citent la phrase la
plus
malencontreuse de Pascal : le « Qui veut faire l’ange… » a autorisé d
135
de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est
plus
humaine, est plus divine, quand c’est une telle femme qui la confesse
136
plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est
plus
divine, quand c’est une telle femme qui la confesse : « Celui qui ent
137
re un feu rose éclôt voici ton heure au regard le
plus
pur je suis à toi dans le triomphe du silence sereine tu es toujours
138
ans le triomphe du silence sereine tu es toujours
plus
sereine infiniment nue dans la douceur du feu et de la joie. V Oh
139
ube sans refuges… VI Prisonnier de la nuit mais
plus
libre qu’un ange prisonnier dans ta tête mais libre comme avant cette
140
en effet ? Une grande nuée de romanciers à peine
plus
réels que leurs personnages ; des êtres gris, marqués d’un point roug
141
e contre l’insignifiance ! On ne nous laisse même
plus
la colère. Ah ! nous ne risquons pas d’être tués par des statues !) T
142
s que l’outrancière habileté contemporaine écœure
plus
que tout. Plutôt donc que de discuter ces thèses, je voudrais suivre
143
— ont la chance de vivre à l’une des époques les
plus
violentes de l’histoire humaine ; ils assistent à des bouleversements
144
eure de domination et de puissance… On ne se pose
plus
, en France, de questions qui dépassent un certain plan. C’est mal vu.
145
champ. Ils mettent en jeu des systèmes de valeurs
plus
ramifiés, plus organiques. Ils ne sont pas obscurs, ils sont arboresc
146
ent en jeu des systèmes de valeurs plus ramifiés,
plus
organiques. Ils ne sont pas obscurs, ils sont arborescents. Voyez Ber
147
t vous mener à crever de faim, ce qui ne se porte
plus
, — voire même à paraître ennuyeux13… Ils recherchent tous un équilibr
148
ur néglige sa personnalité » et « Kant est un peu
plus
redoutable que Robespierre ». Bien. Ah ! très bien ! Mais qu’ensuite
149
e », mais obligent l’homme à « assumer » d’autant
plus
héroïquement sa vérité — une vérité qu’il doit se créer de toute sa v
150
d’âme. Car on ne voit que ce qu’on mérite. — Les
plus
beaux fantômes, et les plus réels, ce sont les anges. Mais ceux-là se
151
e qu’on mérite. — Les plus beaux fantômes, et les
plus
réels, ce sont les anges. Mais ceux-là seuls parmi nous les verront,
152
ns à ce signe qu’il nous transporte dans un monde
plus
hautement organisé, c’est-à-dire plus réel. (L’absurdité des choses m
153
ns un monde plus hautement organisé, c’est-à-dire
plus
réel. (L’absurdité des choses mesurait seulement notre impuissance à
154
impuissance à les aimer.) Dès lors, il ne s’agira
plus
de réduire les fantômes qui nous tenteront, mais de leur égaler notre
155
ntenir cet effort sous le signe de la sobriété la
plus
rusée mais la plus amoureuse. L’audace et l’humilité de la prière nou
156
ous le signe de la sobriété la plus rusée mais la
plus
amoureuse. L’audace et l’humilité de la prière nous font entendre l’a
157
ane interne, puisse nous donner des connaissances
plus
complètes que l’expérience commune ?” Depuis (et même avant) que Sain