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erlant, qui en est sortie toute formée et casquée
pour
la lutte de l’après-guerre. ⁂ Deux philosophies, affirme-t-il, se dis
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fféminé ; — en face : l’Ordre romain. Or l’ordre,
pour
M. de Montherlant comme pour Maurras, est ce qu’il importe de sauvega
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romain. Or l’ordre, pour M. de Montherlant comme
pour
Maurras, est ce qu’il importe de sauvegarder, avant tout autre princi
4
nt pas philosophe. Peut-être ne lui a-t-il manqué
pour
le devenir que le temps de méditer : il a quitté le collège jésuite p
5
temps de méditer : il a quitté le collège jésuite
pour
la tranchée, puis « le sport l’a saisi aux pattes de la guerre encore
6
eu le temps de se ressaisir, le sport prolongeant
pour
lui, d’une façon obsédante, le rythme de la guerre. Du moins a-t-il a
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guerre. Du moins a-t-il ainsi évité le choc fatal
pour
tant d’autres du guerrier et du bourgeois. Dernièrement, il abandonna
8
ndra : non, car la faiblesse est le péché capital
pour
le sportif. Or c’est la faiblesse « qui fait lever la haine ». « La f
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inicain : « Formez des jeunes filles assez fortes
pour
pouvoir tout lire, et il n’y aura plus besoin de roman catholique. »
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romantisme, du naturalisme, de l’impressionnisme,
pour
aboutir enfin dans ces impasses : cubisme et futurisme. Les voici rev
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ncore païen, voit dans la vénération des pèlerins
pour
les tombes de leurs saints une forme d’adoration de dieux protecteurs
12
a protestation de la Réforme. Honorons les saints
pour
l’exemple de leur vie : mais Christ est le seul médiateur à qui doit
13
, tandis que ce terme n’a plus qu’un sens relatif
pour
nous protestants. Est-ce là nous juger ? Les catholiques nous reproch
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ses concessions à de telles critiques. Mais c’est
pour
affirmer avec d’autant plus de force que « en situant tout le devoir
15
restaurer le protestantisme. La place nous manque
pour
louer comme il conviendrait la clarté d’un exposé solidement document
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Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)d e
Pour
la première fois cette année, les conférences de l’Association chréti
17
e, dont il est l’un des artisans les plus actifs.
Pour
remplacer un travail promis par M. A. Reymond malheureusement indispo
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eux, comme M. Terrisse l’avait fait le soir avant
pour
les milieux d’ouvriers noirs au Cap. Sans toucher à des questions de
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arracher leurs auditeurs de leur lit de préjugés
pour
les placer véritablement en face de la « réalité prolétarienne ». « C
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souvent dangereux. Vous, étudiants, venez à nous
pour
nous aider. Nous saurons nous compromettre, si nous écopons, tant pis
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ne pense, à Aubonne on se sent prêt à tout lâcher
pour
une vérité nouvelle, on tient moins à convaincre qu’à se convaincre.
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tronc coupé n’eut pas trop de toute sa souplesse
pour
maintenir l’équilibre des discussions et de sa propre personne. Et il
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r qu’on était libre — comme si on l’avait attendu
pour
le manifester ! — et qu’il suffisait de souscrire à la brochure de la
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sait de souscrire à la brochure de la conférence3
pour
savoir tout ce que je n’ai pas dit dans ces quelques notes. 3. Il s
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la dompte, tout ce qui sourd en moi de trop grand
pour
ma vie — toute ma joie ! » Ce n’était plus une douleur rare que j’ai
26
s instincts et je n’entends pas tous les cultiver
pour
cela seul qu’ils sont naturels : la nature est un champ de luttes, de
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que je ne vous désire. (Ce désir qui me rend fort
pour
— autre chose…) Ô luxe, ne pas aimer son plaisir ? Je reste candidat
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rop directe et soutenue modifie son objet vivant.
Pour
moi, la sincérité ne peut être que spontanée. Et spontanément je suis
29
e ce livre, qu’on l’éprouve d’abord trop vivement
pour
le juger. L’auteur l’appelle un « poème solaire », l’éditeur un roman
30
nce tonique certes, mais décidément un peu pauvre
pour
fonder une religion. Mais ce n’est peut-être qu’un rêve de poète. Il
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ces, ne vaut-elle pas d’être élevée en témoignage
pour
notre exaltation ? Comme la vue des athlètes en action, un tel livre
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étymologique du mot) qui la renseigne du dedans,
pour
ainsi dire, sur la vulnérabilité de la chenille. » (Évolution créatri
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exhalait sa chaleur, au long des quais sans bancs
pour
notre lassitude. Florence s’éloignait derrière nous qui suivions main
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s, nous quittons un mystère à jamais impénétrable
pour
l’homme, nous fuyons ces bords où conspirent des ombres informes et d
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sprit qui les exerce, des voluptés plus faciles —
pour
infuser dans nos corps charmés d’un repos sans rêves une langueur don
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ières. Architectures ! langage des dieux, ô joies
pour
notre joie mesurées, courbes qu’épousent nos ferveurs, angles purs, r
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de villes d’usines. Il y avait la vie des hommes
pour
demain, et il était beau d’y songer un peu avant de nous abandonner à
38
ue ruelle croisée propose un mystère qu’on oublie
pour
celui des regards étrangers. Et voici la place régulière, les galerie
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— et si tu veux soudain le son grave de l’infini,
pour
être seul parmi la foule, lève les yeux, au plus beau ciel du monde.
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ment familiers d’une vie honnête de type courant.
Pour
dix sous et le prétexte d’un apéro, on entre ici dans le jardin des s
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is cette rose oubliée me gênait : perdre une rose
pour
le plaisir ! (Et je ne pensais même pas, alors : une si belle rose.)
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modeste salle à manger ; des jaquettes de couleur
pour
ma femme… Mais l’homme avait posé son journal. Soudain, portant la ma
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voilà classé, le voilà prêt à faire des bassesses
pour
durer, et tu te réjouissais, parce que tu n’as pas beaucoup d’imagina
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ntrigues usées jusqu’à la corde, jusqu’à la corde
pour
les pendre, ha ha ha ! Tu pensais que j’allais me cramponner à cette
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s disent dans leurs manuels scolaires. Les voler,
pour
leur apprendre. Et leur manie aussi de situer le paradis dans la clas
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dée. Elle jouait avec la rose. Les dés roulèrent,
pour
un dernier enjeu. Alors la femme lança sur la table cette rose qui s’
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x divers points de vue auxquels on a pu se placer
pour
juger la révocation. M. Esmonin, lui, se place au point de vue de l’h
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s courants les plus modernes, et sont bien situés
pour
n’en prendre que le meilleur ; mais l’émulation, l’atmosphère de comb
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e le procès, mais qui expliquent, me semble-t-il,
pour
une part, la dispersion des efforts artistiques. Tout ce monde d’amat
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is. S’il casse des vitres, ce n’est pas seulement
pour
le plaisir, mais plutôt par amour du courant d’air. Cela dérange touj
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hements moins paradoxaux. Donzé n’est pas de ceux
pour
qui la peinture consiste à habiller une idée. Voyez son portrait de M
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sous l’œil méfiant des fascistes qui le prennent
pour
un agitateur russe, à cause de sa chevelure, sans doute ! On ne pourr
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s mêmes ou ses fausses négligences ; mais il faut
pour
comprendre cet art emprunter de singuliers chemins d’accès. Ce qui d’
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vient satisfaisant. Ce lyrique, ce mystique exige
pour
être compris une complicité de sentiments ou d’état d’âme. Je ne verr
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parce qu’il est un des rares peintres de ce pays
pour
qui la couleur existe avant tout. Mais la nostalgie de Bouvier l’entr
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qui n’attendrait pas que l’enterrement s’éloigne
pour
entonner une chanson à boire. Et sa technique auparavant volontaireme
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Barraud. Il suffit de le voir peint par lui-même
pour
s’en assurer. La tête large, aux yeux clairs et assurés, le cou robus
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ision qui s’incarne dans ces motifs géométriques,
pour
le plaisir de la perfection exercée par jeu. Mais quel support à de n
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u-delà. En vérité il faut être sorcier ou artiste
pour
changer en instruments métaphysiques ces bonnes montres de précision
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té savante et de la perfection du métier, un goût
pour
la construction rigoureuse qui sont des éléments peut-être insuffisan
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euse qui sont des éléments peut-être insuffisants
pour
caractériser une école, mais qui révèlent tout de même une orientatio
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oupements correspondent à une réalité artistique.
Pour
aujourd’hui, notre but serait suffisamment atteint si nous n’avions f
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et et à son étoile nervalienne. Je vins à Vienne
pour
fuir l’Amérique. Mais les Viennois avaient fui dans les opérettes de
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oration polie d’un passé imaginaire, ou peut-être
pour
essayer de se prendre encore au rêve de valse qu’on était venu cherch
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que je comprends mal. Je me penche vers un voisin
pour
lui demander je ne sais plus quoi. Mais sans doute évadé dans son rêv
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use et mélancolique où l’on quitte ce visage aimé
pour
d’autres plus beaux peut-être, mais inconnus. Voilà que la forme blan
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approche où vous n’aurez plus besoin de souffrir
pour
comprendre. Le faisceau de lumière quitta la scène, un reflet balaya
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a mode de 1830, qui, à la rigueur, pouvait passer
pour
une élégance très moderne. Il n’y avait dans toute sa personne rien d
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i cache une incapacité définitive à se passionner
pour
quoi que ce soit. Cette ville, qui est toute caresses, a peur de l’ét
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se que je comprends assez bien, ajouta-t-il, mais
pour
d’autres raisons qu’eux, probablement… À ce moment, comme nous traver
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par nature et par attitude, des gens fatigués. —
Pour
moi, dit Gérard, je situe l’amour dans un monde où la question fidéli
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écouvrais en elles de secrètes ressemblances, qui
pour
d’autres paraissaient purement mystiques… Mais vous savez, « les autr
73
ophe, et vous allez me dire que c’est trop facile
pour
un homme retiré du monde depuis si longtemps. Livrons-nous plutôt à u
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itable : la jeune femme refusa d’abord les fleurs
pour
se donner le temps de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nous ne
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t plus qu’à lui prendre chacun un bras, une femme
pour
deux hommes — et ce fut bien dans cette anecdote dont Gérard attendai
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kanique très lisse nous délivra de notre conquête
pour
la durée des danses. Gérard bâillait : « Voilà ce que c’est que de pr
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allons nous ennuyer terriblement. Du moins, moi.
Pour
vous, c’est différent, vous êtes moderne, vous vous contentez peut-êt
78
u hasard des liqueurs qui n’ont pas été préparées
pour
leur soif. Ils ne savent plus les signes ni les ressemblances. Aussi
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rt des garçons. « Encore une proie inutile lâchée
pour
l’ombre, dit Gérard d’un ton rêveur et malicieux. Mais l’ombre de cet
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ieuses en passant par toutes les formes animales.
Pour
lui, les choses n’ont d’intérêt que par les rapports qu’il leur devin
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e de ces superstitions qui ne sont enfantines que
pour
nos savants retombés en pleine barbarie spirituelle. Il plaisante. Il
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ar transparence au travers de l’autre. Il dit : «
Pour
celui qui saisit les correspondances, chaque geste, chaque minute d’u
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Les chauffeurs regardaient d’un œil las, trop las
pour
s’étonner. Transi, je me balançais d’un pied sur l’autre dans de la n
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aient vers les voitures, les hommes s’inclinaient
pour
des baise-mains silencieux et mécaniques. Je reconnus des princes aux
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ncore il se singularise : il n’écrit pas de livre
pour
y pourchasser un moi qui feint toujours de se cacher derrière le feui
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autres. Mais s’il lui arrive de prendre son image
pour
celle de n’importe quel passant, il se sent comme séparé de soi, et s
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des miroirs. Stéphane est en train de se perdre
pour
avoir voulu se constater. Va-t-il découvrir aussi qu’on ne comprend q
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ue ce qu’on dépasse ? Et qu’il faut sortir de soi
pour
se voir ? Il y a dans l’homme moderne un besoin de vérifier qui n’es
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imer. (Ces jeunes gens ne veulent pas se fatiguer
pour
rien.) Cette histoire idiote, d’ailleurs vraie, se borne à décrire l’
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attaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient
pour
abaisser tous les regards. Stéphane rendu à la santé écrivait : « Ton
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lli des quatrains qu’il donne aux visiteurs venus
pour
contempler la victime d’un miracle. — C’était l’époque des amateurs d
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compte, simplement parce qu’il a aimé une femme,
pour
écrire Hypérion, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement voulo
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qu’il a aimé une femme, pour écrire Hypérion, et
pour
les gens d’ici, aimer, c’est seulement vouloir se marier… » — Et puis
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e tout de suite la bête : comme cela on est mieux
pour
donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité
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ns des miennes quand je te regardais trop profond
pour
te voir ? Maintenant je suis seul à redescendre au jour dans l’aube s
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me disent beaucoup de gens, qui persiste à passer
pour
un écrivain ; alors qu’il est plutôt ce qu’autrefois l’on nommait jol
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homme… » Un ou deux. Il suffit de très peu de sel
pour
rendre mangeables beaucoup de nouilles. Mais si le sel perd sa saveur
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anétaire, mais ils trouvent d’excellentes raisons
pour
ne point se laisser troubler. Ils tiennent à leurs petites inquiétude
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mal vu. » Ou si on les pose, ajouterai-je, c’est
pour
les résoudre aussitôt et d’une manière aussi peu compromettante que p
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e ses migraines, de ses gastrites, de sa fatigue.
Pour
abolir des obstacles de cette envergure, il suffit d’un peu de décisi
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Beausire admire Léonard d’avoir « tracé peut-être
pour
toujours les limites de l’humaine liberté ». Simond réclame « un part
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les miens, et qui saura jamais s’ils ne sont pas
pour
moi « des choses » — et réciproquement. La distinction entre « choses
103
n — car toute découverte du monde spirituel revêt
pour
nous, normalement, l’aspect d’une création. Il s’agit de maintenir ce
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l) ou les hallucinations (à l’état pathologique),
pour
prendre des états concrets. »