1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 ude dans une autre. Il ne me resta qu’une fatigue profonde  ; je devins si faible et démuni, livré aux regards d’une foule absurd
2 er : cela consiste à retrouver l’instinct le plus profond de l’homme, la vertu conservatrice qui ne peut dicter que les gestes
3 mer à mesure que je le décris. Mais comme un écho profond , une attirance aussi d’anciennes folies… Combat, oscillations silenci
2 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 « en vraies bêtes de désir ». Une intelligence si profonde de la vie animale suppose entre l’homme et la bête une sympathie que
5 es de l’intelligence ou de la foi aux inquiétudes profondes de leurs âmes séparées de Dieu. Montherlant est aux antipodes de ceux
3 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
6 ais Stéphane n’entend pas encore gronder les eaux profondes . Le désir de s’hypnotiser l’irrite toujours vaguement. Mais il fuit s
4 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
7 cloches et le scintillement des étoiles les eaux profondes qui échangent leurs douceurs. Tiens moi bien nous allons partir l’a
8 tes mains des miennes quand je te regardais trop profond pour te voir ? Maintenant je suis seul à redescendre au jour dans l’a