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oète qu’il peut atteindre à pareille intensité de
réalisme
. Une perpétuelle palpitation de vie anime ce livre et lui donne un ry
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iption des taureaux ne se manifeste ce passage du
réalisme
le plus hardi à un lyrisme plein de simple grandeur. Voici la mort du
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’il intitule la cité est un petit chef-d’œuvre de
réalisme
stylisé. C’est d’un art très volontaire, qui connaît ses ressources e
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école. Délaissant un moment ce trésor du meilleur
réalisme
, que nous saurons désormais retrouver, allons errer un peu dans le ro
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BIT où se manifeste un heureux équilibre entre le
réalisme
imposé par les sujets et un style qui sait rester ample, d’une simpli