1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 nt, c’est de ne pas se défaire. Mais rien n’était résolu . Me voici devant quelques problèmes dont je sais qu’il est absolument
2 e sais qu’il est absolument vain de prétendre les résoudre , mais que je dois feindre d’avoir résolus : c’est ce qui s’appelle vi
3 re les résoudre, mais que je dois feindre d’avoir résolus  : c’est ce qui s’appelle vivre. Problème de Dieu, à la base. J’aurai
2 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
4 » Ou si on les pose, ajouterai-je, c’est pour les résoudre aussitôt et d’une manière aussi peu compromettante que possible. Dire
5 udeur française de supprimer ce qu’ils ne peuvent résoudre sur-le-champ. Ils mettent en jeu des systèmes de valeurs plus ramifié
3 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
6 -Augustin a formulé cette question, qu’il n’osait résoudre , bien des mystiques, des poètes, des philosophes, des psychiatres, de